« Nicolas Sarkozy » : différence entre les versions

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|diffuseur=France 2
|date={{Date|29|juin|2005}}}}
 
 
{{citation|Le mot racaille était peut-être un peu faible.}}
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}}
 
{{citation|citation=Au bout du compte nous avons tout lieu d’être fiers de notre pays, de son histoire, de ce qu’il a incarné, de ce qu’il incarne encore aux yeux du monde. Car la France n’a jamais cédé à la tentation totalitaire. Elle n’a jamais exterminé un peuple. Elle n’a pas inventé la solution finale, elle n’a pas commis de crime contre l’humanité, ni de génocide. Elle a commis des fautes qui doivent être réparées, et je pense d’abord aux harkis et à tous ceux qui se sont battus pour la France et vis-à-vis desquels la France a une dette d’honneur qu’elle n’a pas réglée, je pense aux rapatriés qui n’ont eu le choix au moment de la décolonisation qu’entre la valise et le cercueil, je pense aux victimes innocentes de toutes les persécutions dont elle doit honorer la mémoire. [...] La vérité c’est qu’il n’y a pas eu beaucoup de puissances coloniales dans le monde qui aient tant oeuvréœuvré pour la civilisation et le développement et si peu pour l’exploitation. On peut condamner le principe du système colonial et avoir l’honnêteté de reconnaître cela.}}
{{Réf Pub
|nom=Nicolas Sarkozy
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|source=[http://www.lejdd.fr/cmc/politique/200725/sarkozy-a-la-une_31221.html jdd] sur TF1
|parution={{Date|21|juin|2007}}}}
 
 
{{citation|citation=Tous peuvent dire non, personne peut dire oui. Celui qui a le plus petit pouvoir peut empêcher de faire une petite chose mais celui qui a le plus grand pouvoir ne peut pas permettre de faire une petite chose. Le pouvoir de dire non, en fait, n'existe p... existe et le pouvoir de dire oui, non, parce que chaque pouvoir équilibre l'autre dans un mouvement de paralysie quasi-générale.
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|source=[http://www.harkis.com/article.php3?id_article=286 Discours du 31 mars de Nicolas Sarkozy Candidat à la Présidence de la République à l’occasion de sa rencontre avec les représentants de la communauté Harkis (Samedi 31 mars 2007)]
|parution=le {{Date|31|mars|2007}}}}
 
 
 
=== Révolte libyenne ===
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|url=http://www.letemps.ch/Facet/print/Uuid/3e54866e-4b1d-11e1-bb6b-7b9600385ff6/Toujours_président_et/ou_pas_encore_candidat
|précisions=Lors de l'émission "En Direct de l'Élysée".}}}}
 
 
 
 
{{citation|citation=[[w:Casse-toi, pauv' con !|Casse-toi, pauv' con !]]}}
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|page=15
}}
 
 
{{citation|Si Sarkozy existe en tant que phénomène social et historique, malgré sa vacuité, sa violence et sa vulgarité, nous devons admettre que l'homme n'est pas parvenu à atteindre le sommet de l'Etat ''malgré'' ses déficiences intellectuelles et morales, mais ''grâce à elles''. C'est sa négativité qui a séduit. Respect des forts, mépris des faibles, amour de l'argent, désir d'inégalité, besoin d'agression, désignation de boucs émissaires dans les banlieues, dans les pays musulmans ou en Afrique noire, vertige narcissique, mise en scène publique de la vie affective et, implicitement, sexuelle : toutes ces dérives travaillent l'ensemble de la société française; elles ne représentent pas la totalité de la vie sociale mais sa face noire, elles manifestent son état de crise et d'angoisse. [...] Au fond, nous devrions être reconnaissant à Nicolas Sarkozy de son honnêteté et de son naturel, si bien adaptés à la vie politique de notre époque. Parce qu'il a réussi à se faire élire en incarnant et en flattant ce qu'il y a de pire autour de nous, en nous, il oblige à regarder la réalité en face. Notre société est en crise, menacée de tourner mal, dans le sens de l'appauvrissement, de l'inégalité, de la violence, d'une véritable régression culturelle.}}