« Civilisation islamique » : différence entre les versions

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{{citation|Par une honorable transmission de la science grecque, la civilisation arabe figurera toujours parmi les éléments essentiels de notre grande préparation au moyen âge.}}

{{Réf Livre|titre= Discours sur l'ensemble du positivisme

|éditeur=L. Mathias

|année=1848

|page=356}}

 

{{citation|Tandis que l'Europe était plongée dans des ténèbres de barbarie que perçaient à peine quelques faibles lueurs, une vive lumière de littérature, de philosophie, de science, d'arts, d'industrie inondait toutes les capitales de l'islamisme.

|original=[La civilisation des Arabes] transmit à l'Europe du moyen âge des découvertes, des industries, des sciences, empruntées sans doute pour la plupart à d'autres peuples, mais dont il est glorieux pour les Arabes d'avoir été du moins les propagateurs. En effet, tandis que l'Europe était plongée dans des ténèbres de barbarie que perçaient à peine quelques faibles lueurs, une vive lumière de littérature, de philosophie, de science, d'arts, d'industrie inondait toutes les capitales de l'islamisme. Bagdad, Bassorah, Samarcande, Damas, le Caire, Kaïoran, Fez, Grenade, Cordoue étaient autant de grands centres intellectuels.

|langue=fr

}}

|titre=Histoire du moyen âge

|éditeur=Hachette

|page=314

}}

 

=== [[Joseph Arthur de Gobineau]]===

|page=278

|ISBN=2711603512}}

 

=== [[Johann Gottfried von Herder]] ===

|année d'origine=1791

|page=418}}

 

{{citation|Les mœurs élégantes de la chevalerie ont donc évidemment été apportées en Europe par les Arabes; ce qui chez les héros du Nord, avec leur pesant attirail, ne fut que métier ou fiction, fut dans cette nature du Midi un jeu facile, un élégant exercice. Ainsi l'esprit chevaleresque apparut d'abord parmi les chrétiens en Espagne, là où les Goths et les Arabes habitaient, près les uns des autres, depuis des siècles.}}

{{citation|Les Sarrasins d'Espagne qui, au VIIIe siècle, se répandirent en France, pouvaient y faire naître le goût des sciences et des beaux-arts ; Charles-Martel les extermina prés de Poitiers, et tout le fruit de cette expédition fameuse fut l'affermissement de sa puissance, à moins que la postérité de quelques Maures échappés au carnage de Poitiers, et réfugiés au Midi de la France, ne fut à l'origine nébuleuse de ces troubadours qui illustrèrent ces mêmes contrées au XI, XIIe et XIIIe siècles : origine dont je ne sache pas qu'aucun critique ait eu l'idée.

}}

|titre=Mémoires

|éditeur=Pavie

|page=525

}}

 

=== [[Bernard Lazare]]===

|année d'origine=1894

|page=113}}

 

=== [[Gustave Le Bon]]===

|année=1990

|année d'origine=1884

|page=284}}

 

|page=51

}}

 

=== [[Jules Michelet]] ===

}}

{{Réf Livre|titre=Histoire des mathématiques

|éditeur=C.A. Jombert

|année=1758

|page=338

}}

 

=== [[Félix Archimède Pouchet]]===

{{réf Livre

|auteur=Voltaire

|titre de la contribution=[http://books.google.fr/books?id=oxAvAAAAMAAJ&pg=PA264 Préface de l’Essai sur l’Histoire universelle]

|année de la contribution=1754

{{réf Livre

|auteur=Voltaire

|titre de la contribution=Essais sur les Mœurs

|année de la contribution=1756

{{réf Livre

|auteur=Voltaire

|titre de la contribution=Essais sur les Mœurs

|année de la contribution=1756

|tome=11}}

 

{{réf Livre

|auteur=Voltairela

|titre de la contribution=Essais sur les Mœurs

|année de la contribution=1756

{{réf Livre

|auteur=Voltaire

|titre de la contribution=Essais sur les Mœurs

|année de la contribution=1756

pompons et des falbalas ; tout nous vient d'ailleurs jusqu'à l'inoculation.}}

{{réf Livre|auteur=Voltaire

|éditeur=Moland

|année=1875

{{citation|Le plus grand changement que l’opinion ait produit sur notre globe fut l’établissement de la religion de Mahomet. Ses musulmans, en moins d’un siècle, conquirent un empire plus vaste que l’empire romain. Cette révolution, si grande pour nous, n’est, à la vérité, que comme un atome qui a changé de place dans l’immensité des choses, et dans le nombre innombrable de mondes qui remplissent l’espace; mais c’est au moins un événement qu’on doit regarder comme une des roues de la machine de l’univers, et comme un effet nécessaire des lois éternelles et immuables: car peut-il arriver quelque chose qui n’ait été déterminé par le Maître de toutes choses? Rien n’est que ce qui doit être.}}

{{réf Livre|auteur=Voltaire

|titre de la contribution=[http://books.google.fr/books?id=gYcGAAAAQAAJ&pg=PA66 Remarque pour servir de supplément à l'Essais sur les Mœurs]

|année de la contribution=1763

{{réf Livre

|auteur=Voltaire

|titre de la contribution=[http://books.google.fr/books?id=dREvAAAAMAAJ&pg=PA178 Examen important de milord Bolingbroke ou le Tombeau du fanatisme]

|année de la contribution=1767

{{citation|Ces mêmes Maures cultivèrent les sciences avec succès, et enseignèrent l’Espagne et l’Italie pendant plus de cinq siècles. Les choses sont bien changées. Le pays de saint Augustin n’est plus qu’un repaire de pirates.

}}

|titre=Dictionnaire philosophique

|éditeur=Lequien fils

</poem>}}

 

|auteur=[[:w:Anatole France|Anatole France]]

|éditeur=Gallimard

|tome=2

|page=465-466}}

 

=== [[Étienne Gilson]]===

}}

{{Réf Livre|titre= L'érotique des troubadours‎

|éditeur=Union générale d'éditions

|année=1974

|année=1992

|page=109-110}}

 

{{citation|La rapidité des progrès de l'Islam dans les sciences, les arts, l'industrie, le commerce et tous les raffinements de la société policée, est presque aussi étonnante que la rapidité de ses conquêtes.}}

|page=Préface

}}

 

=== [[Colin Ronan]] ===

|page=14}}

 

{{Réf Livre|titre=Un choc de religions : La longue guerre de l'islam et de la chrétienté 622-2007

|auteur=[[:w:Jean-Paul Roux|Jean-Paul Roux]]

 

{{citation|Dans l'Espagne occupée par les Maures s'épanouit une civilisation musulmane tolérante, par l'intermédiaire de laquelle passe aux autres Européens une bonne partie de l'héritage grec classique.}}

|titre=La peur des barbares

|éditeur=robert Laffont