« Victor Hugo » : différence entre les versions

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{{citation|Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.}}
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{{citation|L’homme est une prison où l’âme reste libre.}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Les Contemplations|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|auteur=Victor Hugo|tome=Poésie VI|section=livre VI (« Au bord de l'infini »), poème XXVI (« Ce que dit la bouche d'ombre »)|page=350|s=Ce que dit la bouche d’ombre|éditeur=Hetzel/Quantin|année=1883|année d'origine=1856}}
 
 
{{citation|<poem>[…}&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;l'enfant ne sera plus
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|tome=1
}}
 
 
{{citation|<poem>[…}&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;dans nos regards vains
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Cette promotion me laisse un peu rêveur.
</poem>}}
{{Réf Livre|titre=La Légende des siècles Nouvelle série|auteur=Victor Hugo|volume=Le Temps présent|année=1877|éditeur=5e Paris C. Lévy|page=[[s:France_et_âmeFrance et âme|Texte intégral en ligne sur wikisource]]}}
 
=== ''Les Quatre Vents de l'esprit'', [[w:1881 en littérature|1881]] ===
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|s=Les_Quatre_Vents_de_l’esprit
}}
 
 
=== {{w|''La fin de Satan''}} ===
 
 
{{citation|<poem>— Toute la loi d'en haut est dans un mot : aimer.
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|page=312
}}
 
 
{{citation|<poem>« Le livre d'en haut dit : — Qui que tu sois, qui somme
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|chapitre=''Le Crucifix''
}}
 
 
{{citation|<poem>Pas un autel sur terre, hélas ! n'est sans remords.
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|commentaire=
|}}
 
 
{{citation|Les maîtres d'écoles sont des jardiniers en intelligences humaines.}}
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|année=1942
|page=454}}
 
 
{{citation|Mieux vaut une conscience tranquille qu'une destinée prospère. J'aime mieux un bon sommeil qu'un bon lit.}}
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{{Réf Livre|titre=Bug-Jargal|auteur=Victor Hugo|éditeur={{w|Pierre-Jules Hetzel|P.-J. Hetzel}}|année=1826|chapitre=XXXIV|page=52}}
 
{{Citation|citation=— […] Dieu merci ! celui que vous voulez faire mourir est mort. Il ne vous a pas attendu.</br />
Le commissaire, furieux de voir s’évanouir sa conspiration avec son conspirateur, murmura entre ses dents :</br />
« Il est mort ! c’est dommage ! »</br />
Le général l’entendit et s’écria indigné :</br />
« Il vous reste encore une ressource, citoyen représentant du peuple ! Allez chercher le corps du capitaine d’Auverney dans les décombres de la redoute. Qui sait ? les boulets ennemis auront peut-être laissé la tête du cadavre à la guillotine nationale ! »
|précisions=Excipit de ''Bug-Jargal'' lorsque le supérieur hiérarchique de feu d’Auverney défend celui-ci d’un blâme de la part d’un commissaire de la {{w|Montagne (Révolution française)|Montagne}}.}}
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Comme huit heures sonnait en ce moment, le bruit du beffroi de l'horloge couvrit sa voix, et le confesseur lui répondit qu'il n'entendait pas.<br/>Claude attendit l'intervalle de deux coups et répéta avec douceur : "Pour les pauvres".
Le huitième coup n'était pas encore sonné que cette noble et intelligente tête était tombée.</poem>
|précisions = Cette oeuvreœuvre s'inscrit dans le combat de Victor Hugo contre la peine de mort.
}}
{{réf Livre|titre=Claude Gueux|auteur=Victor Hugo|éditeur=Magnard (Classiques contemporains)|année=2000|page=43 lignes 698-706|s=Claude Gueux}}
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=== ''La Légende des siècles, Booz endormi'', 1859 ===
{{Citation|Vêtu de probité candide et de lin blanc.}}
{{Réf Livre|titre=La Légende des siècles, Booz endormi |auteur=[[Victor Hugo]] |éditeur=Édition Hetzel |année= 1859 |page= 36, v. 14|langue=fr |ISBN= |traducteur= |collection= }}
 
=== ''[[w:Les Misérables|Les Misérables]]'', [[w:1862|1862]] ===
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{{Réf Livre|titre de la contribution=Les Travailleurs de la mer|référence=Œuvres complètes de Victor Hugo/Laffont-R3|page=261|partie=Deuxième partie : Gilliatt le malin|chapitre=VI (« Le combat »)|section=livre troisième (« La lutte »)|s=Les Travailleurs de la mer}}
 
{{citation|Pour croire à la pieuvre, il faut l’avoir vue. Comparées à la pieuvre, les vieilles hydres font sourire. […]. Orphée, Homère et Hésiode n’ont pu faire que la Chimère ; Dieu a fait la pieuvre. Quand Dieu veut, il excelle dans l’exécrable. Le pourquoi de cette volonté est l’effroi du penseur religieux. Tous les idéals étant admis, si l’épouvante est un but, la pieuvre est un chef-d’oeuvred’œuvre.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Les Travailleurs de la mer|référence=Œuvres complètes de Victor Hugo/Laffont-R3|page=278|partie=Deuxième partie : Gilliatt le malin|chapitre=II (« Le monstre »)|section=livre quatrième (« Les doubles fonds de l'obstacle »)|s=Les Travailleurs de la mer}}
 
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Les menaces volaient et se croisaient dans la discussion comme les flammèches dans l’incendie. [...] - UNE VOIX : Mort à Marat ! - MARAT : Le jour où Marat mourra, il n’y aura plus de Paris, et le jour où Paris périra, il n’y aura plus de République.}}
{{Réf Livre|auteur=Victor Hugo|titre=Quatrevingt-treize|éditeur=Seuil|collection=L'Intégrale|année=1963|année d'origine=1874|page=471|partie=II (« À Paris ») |chapitre=I (« La Convention »)|section=livre troisième (« La Convention »)|s=Quatre-vingt-treize}}
 
 
{{citation|Un jour, cette séance [de la Convention] a eu pour témoin le vieux Buonarotti, Robespierre prend la parole et parle deux heures, regardant Danton, tantôt fixement, ce qui était grave, tantôt obliquement, ce qui était pire. Il foudroie à bout portant. Il termine par une explosion indignée, pleine de mots funèbres [...] Et quand Robespierre a fini, Danton, la face au plafond, les yeux à demi fermés, un bras pendant par-dessus le dossier de son banc, se renverse en arrière, et on l’entend fredonner&nbsp;:
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{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|référence=Œuvres complètes de Victor Hugo/Laffont-R3|page=1064|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=VI (« Cependant le soleil se lève »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Et ces deux âmes, soeurssœurs tragiques, s'envolèrent ensemble, l'ombre de l'une mêlée à la lumière de l'autre.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|référence=Œuvres complètes de Victor Hugo/Laffont-R3|page=1065|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=VI (« Cependant le soleil se lève »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|s=Quatre-vingt-treize}}
 
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Douter qu'il soit, plutôt que de conclure en somme
Que cet honnête Dieu n'est pas un honnête homme.</poem>}}
 
 
{{Réf Livre|titre= Théâtre de Victor Hugo, Tome II
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|auteur=Victor Hugo
}}
 
 
{{citation|
Ligne 786 ⟶ 774 :
|année=1972
|page=118}}
 
 
{{citation|Sans la moindre métaphore et dans toute l'acception du mot, vivre, c'est brûler.}}
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{{citation|Ne soyons plus anglais ni français ni allemands. Soyons européens. Ne soyons plus européens, soyons hommes. - Soyons l'humanité. Il nous reste à abdiquer un dernier égoïsme : la patrie.}}
 
{{Réf Livre|titre= OeuvresŒuvres complètes, Histoire
|titre de la contribution=Choses vues
|année de la contribution=1887
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[[Catégorie:Personnalité politique française]]
[[Catégorie:Membre de l'Académie française]]
[[Catégorie:Naissance en 1802]]
[[Catégorie:Décès en 1885]]