« Boris Vian » : différence entre les versions
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{{Réf Livre|titre=Ecrits pornographiques précédés de l'Utilité d'une littérature érotique|auteur=Boris Vian|éditeur=Le Livre de Poche|année=1980|page=34|section=I. Utilité d'une littérature érotique|ISBN=978-2-253-14431-1}}
{{citation|citation=[...] puisque l'amour, qui est tout de même, je le répète, le centre d'intérêt de la majorité des gens sains, est barré et entravé par l'
{{Réf Livre|titre=Ecrits pornographiques précédés de l'Utilité d'une littérature érotique|auteur=Boris Vian|éditeur=Le Livre de Poche|année=1980|page=35|section=I. Utilité d'une littérature érotique|ISBN=978-2-253-14431-1}}
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{{citation|citation=<poem>Le débarquement allié a permis à Jacques Loustalot de s'affranchir de la tutelle paternelle. Après avoir occupé un poste de « technicien des transmissions » au ministère de l'Intérieur, obtenu grâce à son oncle, général à Vichy, il est revenu vivre chez sa mère à Paris. Il porte désormais une fine moustache pour se vieillir un peu. Il lui arrive également de revêtir un uniforme kaki acheté à un militaire américain ivre. Ce nouveau costume lui sied à ravir. Il l'arbore dans les boîtes de la capitale ou dans les nombreuses surprises-parties où il se rend sans y être invité. Son allure singulière l'en fait renvoyer régulièrement et, en guise de représailles, il peut se saisir de la boîte d'aiguilles à pick-up et les avaler devant les invités épouvantés. L'attitude du Major est proprement dadaïste.
Son
{{Réf Livre|titre=Boris Vian|auteur=Claire Julliard|éditeur=Folio|collection=Biographies|section=Jazz et Libération|année=2007|année d'origine=2007|page=84|ISBN=978-2-07-031963-3}}
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