« Marie d'Agoult » : différence entre les versions
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{{Réf Livre|titre=Nélida|auteur=Marie d'Agoult|éditeur=Calmann-Lévy|année=2010|année d'origine=1866|page=77|partie=Première partie|chapitre=V|ISBN=978-2-7021-4127-4}}
{{Citation|citation=Ce soir-là, ses salons en stuc blanc chargé d'or étaient éclairés avec plus de splendeur que de coutume ; des multitudes de girandoles en cristal de roche à facettes étincelantes, se répétant à l'infini dans des panneaux de glace, jetaient une vive lumière sur les draperies de damas aux tons éclatants. Des pyramides de cactus, qui ouvraient leurs corolles ardentes dans cette chaude atmosphère, ajoutaient encore à l'éblouissement de l'
{{Réf Livre|titre=Nélida|auteur=Marie d'Agoult|éditeur=Calmann-Lévy|année=2010|année d'origine=1866|page=87|partie=Première partie|chapitre=VI|ISBN=978-2-7021-4127-4}}
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{{Réf Livre|titre=Nélida|auteur=Marie d'Agoult|éditeur=Calmann-Lévy|année=2010|année d'origine=1866|page=272|partie=Quatrième partie|chapitre=XXIII|ISBN=978-2-7021-4127-4}}
{{Citation|citation=— Et pourquoi voulez-vous que je m'irrite de ce qui se fait, se dit et se pense, là où je ne me soucie pas d'être ? dit Ewald à Guermann dans une discussion souvent renouvelée depuis la soirée de la taverne. Que m'importe à moi, je vous prie, cette espèce de prison dorée que vous appelez le monde, quand je possède de droit divin la création tout entière, avec tout ce qu'elle renferme de visible à mon
{{Réf Livre|titre=Nélida|auteur=Marie d'Agoult|éditeur=Calmann-Lévy|année=2010|année d'origine=1866|page=287|partie=Quatrième partie|chapitre=XXVI|ISBN=978-2-7021-4127-4}}
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