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{{Réf Livre|titre=Ainsi parlait Zarathoustra|auteur=Friedrich Nietzsche|éditeur=Flammarion|collection=GF-Flammarion|année=1969|année d'origine=1885|page=87|partie=I|chapitre=« De la nouvelle idole »|traducteur=Geneviève Bianquis|ISBN=2-08-070881-3}}
 
{{citation|citation=Des destructeurs sont ceux qui tendent des pièges pour des multitudes et les appellent l'EtatÉtat : ils suspendent au-dessus d'eux un glaive et cent appétits.
Là où le peuple existe encore, il ne comprend pas l'EtatÉtat et il le hait comme un mauvais oeilœil et comme un péché contre les coutumes et les droits.}}
{{Réf Livre|titre=Ainsi parlait Zarathoustra|auteur=Friedrich Nietzsche|éditeur=Le Livre de Poche|collection=Les Classiques de Poche|année=1972|année d'origine=1885|page=66|partie=I|chapitre=« De la nouvelle idole »|traducteur=Georges-Arthur Goldschmidt|ISBN=978-2-253-00675-6}}
 
{{citation|citation=<poem>Il naît beaucoup trop d'humains : pour ceux qui sont en trop, on a inventé l'EtatÉtat !
Regardez donc comme il les attire, ces trop-nombreux ! Comme il les ingurgite, et mâche et remâche !</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Ainsi parlait Zarathoustra|auteur=Friedrich Nietzsche|éditeur=Le Livre de Poche|collection=Les Classiques de Poche|année=1972|année d'origine=1885|page=66|partie=I|chapitre=« De la nouvelle idole »|traducteur=Georges-Arthur Goldschmidt|ISBN=978-2-253-00675-6}}
 
{{citation|citation=J'appelle EtatÉtat le lieu où sont tous ceux qui boivent du poison, qu'ils soient bons ou mauvais ; EtatÉtat, l'endroit où ils se perdent tous, les bons et les méchants ; EtatÉtat, le lieu où le lent suicide de tous s'appelle — « la vie ».}}
{{Réf Livre|titre=Ainsi parlait Zarathoustra|auteur=Friedrich Nietzsche|éditeur=Le Livre de Poche|collection=Les Classiques de Poche|année=1972|année d'origine=1885|page=67|partie=I|chapitre=« De la nouvelle idole »|traducteur=Georges-Arthur Goldschmidt|ISBN=978-2-253-00675-6}}
 
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{{Réf Livre|titre=Ainsi parlait Zarathoustra|auteur=Friedrich Nietzsche|éditeur=Le Livre de Poche|collection=Les Classiques de Poche|année=1972|année d'origine=1885|page=68|partie=I|chapitre=« De la nouvelle idole »|traducteur=Georges-Arthur Goldschmidt|ISBN=978-2-253-00675-6}}
 
{{citation|citation=Là où cesse l'EtatÉtat, c'est là que commence l'homme, celui qui n'est pas superflu : là commence le chant de ce qui est nécessaire, la mélodie unique et irremplaçable.}}
{{Réf Livre|titre=Ainsi parlait Zarathoustra|auteur=Friedrich Nietzsche|éditeur=Le Livre de Poche|collection=Les Classiques de Poche|année=1972|année d'origine=1885|page=69|partie=I|chapitre=« De la nouvelle idole »|traducteur=Georges-Arthur Goldschmidt|ISBN=978-2-253-00675-6}}