« Albert Camus » : différence entre les versions

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}}
 
 
{{Citation
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|langue=fr
}}
 
 
{{citation
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|collection=Folio/Essais
|langue=fr}}
 
 
{{citation|citation=Le monde romanesque n'est que la correction de ce monde-ci, suivant le désir profond de l'homme. Car il s'agit bien du même monde. La souffrance
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|page=274
|langue=fr}}
 
 
{{citation|citation=La vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent.}}
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Il s'agit du manuscrit sur lequel travaillait Albert Camus au moment de sa mort, il a été retrouvé dans sa sacoche, le 4 janvier 1960, dactylographié une première fois par Francine Camus, puis retravaillé avec l'aide d'Odette Diagne Créach, Roger Grenier, Robert Gallimard et surtout Catherine Camus qui a fait publier l'ouvrage en 1994.
 
 
{{citation|Si tu te noies, ta mère elle te tue.}}
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|page=330
|ISBN=978-2-07-040101-7}}
 
 
{{citation|Le livre ''doit être'' inachevé. Ex. : ''Et sur le bateau qui le ramenait en France...''.
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|page=275
}}
 
 
{{citation|citation=C'est peu de chose que de savoir courir au feu quand on s'y prépare depuis toujours et quand la course vous est plus naturelle que la pensée. C'est beaucoup au contraire que d'avancer vers la torture et vers la mort, quand on sait de science certaine que la haine et la violence sont choses vaines par elles-mêmes. C'est beaucoup que de se battre en méprisant la guerre, d'accepter de tout perdre en gardant le goût du bonheur [...]}}
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}}
{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2014|mois=février|jour=16}}
 
 
{{Citation|Si la thèse de l'abandon [de l'Algérie] triomphait, les conséquences seraient terribles pour les Arabes comme pour les Français. C'est le dernier avertissement d'un écrivain voué depuis vingt ans au service de l'Algérie.
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{{Réf Livre|titre=Nouvelles Paroles d'un revenant
|auteur=Jacques d'Arnoux
|éditeur=Nouvelles EditionsÉditions Latines
|année=1965
|page=113}}
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=== J. M. Coetzee ===
{{citation
|citation=&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;“Quant au fait que les animaux seraient trop bêtes et trop stupides pour se faire entendre eux-mêmes, considérez l'enchaînement d'événements suivant. Quand Albert Camus était jeune garçon en Algérie, sa grand-mère lui demanda de lui amener l'une des poules du poulailler. Il obéit, puis il la regarda couper la tête de la volaille avec un couteau de cuisine, recueillant son sang dans un bol pour ne pas souiller le sol.</br />
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Le cri de mort de cette poule s'imprima si vivement dans la mémoire du garçon qu'en 1958 il rédigea une attaque passionnée contre la guillotine. C'est en partie suite à cette polémique que la peine capitale fut abolie en France. Qui oserait affirmer que la poule n'a pas parlé ?”}}
{{Réf livre|titre=Elizabeth Costello|auteur={{w|J. M. Coetzee}}|traducteur=Catherine Lauga du Plessis|éditeur=Le Seuil|collection=Points n°1454|page=150|année=2004|ISBN=978.2.02.086477.0}}
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==Liens Externes==
* [http://uplib.fr/wiki/Camus#Citations Recueil de citations d'Albert Camus]
 
 
{{autres projets|commons=Albert Camus|w=Albert Camus}}