« Pierre Brossolette » : différence entre les versions

 

== '' Hommage aux morts de la France combattante – 18 juin 1943, Albert Hall, Londres '', 1943 ==

 

{{Citation|citation=[…] Ce qu’ils attendent de nous, ce n’est pas un regret, mais un serment. Ce n’est pas un sanglot, mais un élan.}}

 

{{Citation|citation=[…] Sous la croix de Lorraine, le socialiste d’hier ne demande pas au camarade qui tombe s’il était hier Croix de feu. Dans l’argile fraternelle du terroir, d’Estienne d’Orves et Gabriel Péri ne se demandent point si l’un était royaliste et l’autre communiste. Compagnons de la même libération, le père Savey ne demande pas au lieutenant Dreyfus quel dieu ont invoqué ses pères. […]}}

 

== '' Hommage au Général de Gaulle – Résistance'', 1943 ==

 

{{Citation|citation=[…] Il attend de nous que nous pensions la France de demain, que nous la pensions tous ensemble, et que l’ayant pensée, nous la fassions tous ensemble aussi.

Pour sa reconstruction comme pour sa libération, c’est dans cette étroite union de la France résistante et de la France combattante que le pays trouve sa chance la plus précieuse. Grâce à l’homme qui est le lien entre elles, parce qu’il est leur chef à toutes deux.}}

 

== ''Lettre au Général de Gaulle'', 1942 ==

 

{{citation|citation=[…] Nous n’en sommes pas à mesurer les mérites, les talents, l’intelligence et les situations. Ce sont nos consciences qui sont en cause. Et une conscience peut toujours parler d’égale à égale à une autre conscience.}}

 

== ''Phrase prononcée par Pierre Brossolette à Jean-Pierre Melville, à Londres'' ==

|acteur=Paul Meurisse

|traducteur= Wikiquote}}

 

{{DEFAULTSORT:Brossolette, Pierre}}