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==== [[Yasmina Khadra]], ''L’Olympe des Infortunes'', 2010 ====
{{citation|citation=Y a pas de doute, t’es un as. [[ville|Faut être un as pour rester si longtemps en ville et revenir]]. Ça s’est jamais vu, avant.}}
{{Réf Livre|titre=L’Olympe des Infortunes|auteur=[[Yasmina Khadra]]|éditeur=Julliard|année=2010|page=218}}
 
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{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2010|mois=juin|jour=27|commentaire=|}}
 
==== [[Paul EluardÉluard]] , ''Capitale de la douleur'', 1926 ====
 
==== [[Paul Eluard]] , ''Capitale de la douleur'', 1926 ====
''' Revenir dans une ville '''
{{Citation|citation=Revenir dans une ville de velours et de porcelaine, les fenêtres seront des vases où les fleurs, qui auront quitté la terre, montreront la lumière telle qu'elle est.}}
{{Réf Livre|titre=Capitale de la douleur ''suivi ''de L'amour la poésie|auteur=[[Paul EluardÉluard]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1966|année d'origine=1926|page=123|partie=Nouveaux poèmes|section=Revenir dans une ville|ISBN=978-2-07-030095-2}}
 
{{Citation|citation=Voir le silence, lui donner un baiser sur les lèvres et les toits de la ville seront de beaux oiseaux mélancoliques, aux ailes décharnées.}}
{{Réf Livre|titre=Capitale de la douleur ''suivi ''de L'amour la poésie|auteur=[[Paul EluardÉluard]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1966|année d'origine=1926|page=123|partie=Nouveaux poèmes|section=Revenir dans une ville|ISBN=978-2-07-030095-2}}
 
==== [[Jean Malrieu]], ''Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques'', 1964 ====
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{{citation|Mais voici bien autre chose. Descendons un peu plus bas. Contemplons un de ces êtres mystérieux, vivant, pour ainsi dire, des déjections des grandes villes ; car il y a de singuliers métiers, le nombre en est immense. J'ai quelquefois pensé avec terreur qu'il y avait des métiers qui ne comportaient aucune joie, des métiers sans plaisir, des fatigues sans soulagement, des douleurs sans compensation, je me trompais. Voici un homme chargé de ramasser les débris d'une journée de la capitale. Tout ce que la grande cité a rejeté, tout ce qu'elle a perdu, tout ce qu'elle a dédaigné, tout ce qu'elle a brisé, il le catalogue, il le collectionne. Il compulse les archives de la débauche, le capharnaum des rebuts. Il fait un triage, un choix intelligent ; il ramasse, comme un avare un trésor, les ordures qui, remâchées par la divinité de l'Industrie, deviendront des objets d'utilité ou de jouissance.}}
{{Réf Livre|titre=Petits poèmes en prose – Les Paradis artificiels|auteur=[[Charles Baudelaire]]|éditeur=Michel Levy Frères|année=1869|page=357-358|s=Petits Poèmes en prose}}
 
 
[[Catégorie:Ville|*]]
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