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{{Titre en italique}}
'''''{{w|Le Cavecave se rebiffe}}''''' est un {{cat|film}} {{œuvre|française|français}} de {{w|Gilles Grangier}} tourné en {{œuvre|de 1961|1961}}. Les dialogues sont de [[Michel Audiard]]. Le film est issu d'un roman d'{{w|Albert Simonin}}.
 
== Les citations remarquables ==
{{citation|citation=Avec mon mari c'est pas facile à savoir. Il n'était déjà pas causant avant. Maintenant il n'ouvre plus la bouche que pour manger.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Parce que j'aime autant vous dire que pour moi Monsieur Éric avec ses costards tissés en Écosse à Roubaix, ses boutons de manchettes en simili et ses pompes à l'italienne fabriquées à Grenoble, et ben c'est rien qu'un demi-sel. Et là, je parle juste question présentation. Parce que si je voulais me lancer dans la psychanalyse, j'ajouterais que c'est le roi des cons. Et encore les rois, ils arrivent à l'heure. Parce que j'en ai connu moi, mon cher maître, des rois, et puis pas des petits. Les [[w:Maison de Hanovre|Hanovre]], les [[w:Hohenzollern|Hohenzollern]]. Rien que du micheton garanti croisade.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Car c'est pour vous dire que pour votre ami Éric, ses grands airs, il peut se les cloquer dans le baba.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Oh mon cher maître, je vous en prie, hein ! Entre le baron Édouard et un traîne-patin comme Éric, il y a une marge.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=L'honnêteté, ça se paye !}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Il blanchit sous le harnais, hein. Trente ans de fausse monnaie et pas un accroc. Un mec légendaire quoi. Les gens de sa partie l'appellent le Dabe et enlèvent leur chapeau rien qu'en entendant son blaze. Une épée, quoi !}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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[[Fichier:100 Gulden biljet met luitspeelster.jpg|upright=1|right|thumb|La coupure de 100 florins démonétisée en 1945.]]
{{citation|citation=Pauvre con ! Le droit ! Mais dis-toi bien qu'en matière de monnaie les États ont tous les droits et les particuliers aucun !}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Dire qu'il suffit de mettre un gigot au feu pour voir s'amener les emmerdeurs !}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Le faux talbin, Messieurs, est un travail qui se fait dans le feutré.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Eh bien Messieurs, ce cave a une paluche qui vaut de l'or. Une main raphaëlienne ! Nous tenons un petit prodige, et j'aime mieux vous dire que l'affaire s'annonce grandiose, hein.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Dis donc, cette morue va nous casser la cabane ! Neutralise-la, Bon Dieu ! Neutralise la !
|précisions=En parlant de la femme du cave.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Et dites-vous bien que dans la vie, ne pas reconnaître son talent, c'est favoriser la réussite des médiocres.
|précisions=Le Dabe en s'adressant au cave.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Alors mon petit Robert, écoutez bien le conseil d'un père ! Nous devons bâtir notre vie de façon à éviter les obstacles en toutes circonstances.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Elle doit remonter à Ben-Hur, sa charrette !
|précisions=En parlant de la voiture d'Éric Masson.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Bien sûr qu'on peut tourner demain. Seulement, demain c'est dimanche. Et un imprudent qui travaille un dimanche peut éveiller des curiosités malsaines. Et dites vous bien que ces belles images peuvent devenir très vite des billets touristiques pour Poissy, Clairvaux et autre lieux très réputés. Pas d'amateurs ?}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Je connais ton honnêteté mais je connais aussi mes classiques. Depuis Adam se laissant enlever une côte jusqu'à Napoléon attendant Grouchy, toutes les grandes affaires qui ont foiré étaient basées sur la confiance.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Faire confiance aux honnêtes gens est le seul vrai risque des professions aventureuses.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Mais avec votre papelard à dix sacs la rame, vous pourrez toujours vous établir marchand de papier, ou vous en servir à ce que je pense, comme ça vous liquiderez votre stock !}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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}}
 
{{citation|citation=Ta bagnole, ta gonzesse, tes combines...combines… V'la pour ton pif !}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Il va sans dire que les protagonistes de cette vilaine histoire furent arrêtés la semaine suivante et condamnés aux peines prévues par l'article 139 du Code Pénal.
|précisions=Message de fin du film. Il s'agit bien sur de l'article [http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000006490475&cidTexte=LEGITEXT000006071029&dateTexte=19940228 139] de l'[[w:Code pénal de 1810|ancien code pénal]], un [[w:Code pénal (France)|nouveau code pénal]] est entré en vigueur en 1994 et les articles relatifs à la fausse monnaie sont les [http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid?idSectionTA=LEGISCTA000006149855&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte=20121230 442-1 et suivants].}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard, Albert Simonin et Gilles Grangier
|date=1962
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{{citation|citation=L'éducation, ça s'apprend pas.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 170 :
 
{{citation|citation=Mais pourquoi j'm'énerverais ? Monsieur joue les lointains ! D'ailleurs, j'peux très bien lui claquer la gueule sans m'énerver !}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
|acteur={{w|Bernard Blier}}}}
 
{{citation|citation=Dans un ménage, quand l'homme ne ramène pas un certain volume d'oseille, l'autorité devient, ni plus ni moins, d'la tyrannie...tyrannie… Et l'autoritaire, un simple emmerdeur prétentieux !}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 182 :
 
{{citation|citation=Le Bon Dieu aurait pu te faire honnête. Tu as de la chance : il t'a épargné.}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
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{{citation|citation=Nous allons donc confier notre petit trésor aux seuls gens qui n'égarent jamais rien… Aux employés de cette administration que le monde entier nous envie, j’ai nommé les PTT…}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 200 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 212 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 226 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 240 :
|précisions=Sèvres est la ville où se trouve le Bureau international des poids et mesures. Une barre de platine iridié (dont la longueur égale la dix-millionième partie du quart du méridien terrestre), exposée au pavillon de Breteuil, a servi de mètre-étalon depuis l'origine du système métrique (1790) jusqu'à ce que l'on définisse le mètre d'après la longueur d'onde d'un des rayonnements de transition de l'atome de krypton.
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 252 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 263 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 275 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 287 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 301 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 312 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 320 :
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Charles Lepicard}} : Ah évidemment j'en suis pas encore aux toiles de maître, mais enfin c'est un début !
{{Personnage|Le Dabe}} : Oh...Oh… c'est un début qui promet. Mais tu vois si j'étais chez moi, comme tu le disais si gentiment, bah j'mettrai ça ailleurs.
{{Personnage|Léa Lepicard}} :Qu'est-ce que je disais, y s'rait mieux près de la fenêtre. Tu le verrais où toi ?
{{Personnage|Le Dabe}} : À la cave.
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 332 :
 
{{citation|citation=<poem>
{{Personnage|Lucas Malvoisin}} : S'il est aussi fortiche que tu l'dis, ce...ce… ce Dabe, y doit avoir de gros appétits ! Combien y va encore nous piquer ?
{{Personnage|Charles Lepicard}} : Si un homme comme ça entre dans la course, ça n'a pas d'prix !... Parce qu'avec lui, y'a pas d'problème...problème… C'est comme si on s'associait avec la Banque d'Angleterre...Angleterre… Nos sterling, on pourra les montrer à Pinay !
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962
Ligne 347 :
</poem>
}}
{{Réf Film|titre=Le Cavecave se rebiffe
|auteur=Michel Audiard
|date=1962