« Denis Diderot » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m clean up, remplacement: Oeu → Œu (2) avec AWB
m →‎Salons : clean up, remplacement: A propos → À propos (7) avec AWB
Ligne 154 :
 
{{Citation|[...]sachez qu'une allégorie commune quoique neuve, est mauvaise, et qu'une allégorie sublime, n'est bonne qu'une fois. C'est un bon mot usé, dès qu'il est redit
|précisions=AÀ propos du tableau de Lagrenée "''Le Clergé ou la Religion qui converse avec la Vérité"''.}}
{{réf Livre|auteur={{w|Denis Diderot}}
|titre de la contribution =Ruines et Paysages - Salon de 1767
Ligne 165 :
 
{{Citation|Elle est belle, très belle de visage et de toute sa personne, belles formes, belle peau, belles mains, de la jeunesse, de la fraicheur, de la noblesse ; je ne sais pour moi ce qu'il fallait au fils de Jacob. Je n'en aurais pas demandé davantage, et je me suis quelquefois contenté de moins. Il est vrai que je n'ai pas l'honneur d'être fils de patriarche.
|précisions=AÀ propos d'un tableau de Lagrenée "''Le Chaste Joseph"''.}}
{{réf Livre|auteur={{w|Denis Diderot}}
|titre de la contribution =Ruines et Paysages - Salon de 1767
Ligne 176 :
 
{{Citation|On parlera de La Tour ; mais on verra Chardin
|précisions=AÀ propos de deux tableaux de Chardin.}}
{{réf Livre|auteur={{w|Denis Diderot}}
|titre de la contribution =Ruines et Paysages - Salon de 1767
Ligne 187 :
 
{{Citation|On s'arrête devant un Chardin, comme d'instinct, comme un voyageur fatigué de sa route va s'asseoir, sans presque s'en apercevoir, dans l'endroit qui lui offre un siège de verdure, du silence, des eaux, de l'ombre et du frais.
|précisions=AÀ propos de deux tableaux de Chardin.}}
{{réf Livre|auteur={{w|Denis Diderot}}
|titre de la contribution =Ruines et Paysages - Salon de 1767
Ligne 197 :
|page=174}}
 
{{Citation|Un plaisir qui n’est que pour moi me touche faiblement et dure peu. C’est pour moi et pour mes amis que je lis, que je réfléchis, que j’écris, que je médite, que j’entends, que je regarde, que je sens. Dans leur absence, ma dévotion rapporte tout à eux. Je songe sans cesse à leur bonheur. Une belle ligne me frappe-t-elle ; ils la sauront. Ai-je rencontré un beau trait, je me promets de leur en faire part. Ai-je sous les yeux quelque spectacle enchanteur, sans m’en apercevoir je médite le récit pour eux. Je leur ai consacré l’usage de tous mes sens et de toutes mes facultés ; et c’est peut être la raison pour laquelle tout s’exagère, tout s’enrichit un peu dans mon imagination et dans mon discours. Ils m’en font quelquefois un reproche ; les ingrats ! |précisions=AÀ propos des œuvres de Vernet.}}
{{réf Livre|auteur={{w|Denis Diderot}}
|titre de la contribution =Ruines et Paysages - Salon de 1767
Ligne 208 :
 
{{Citation|[...]songez que, quoique l'ambroisie dont les dieux du paganisme s'enivraient, fût une boissons très légère, et que la vision béatifique dont nos bienheureux se repaissent, soit une viande fort creuse, ils n'en vient pas moins des êtres dodus, charnus, gras, solides et potelés, et que les fesses de Ganimède et les tétons de la Vierge Marie doivent être aussi bons à prendre qu'à aucun giton, qu'à aucune catin de ce monde pervers.
|précisions=AÀ propos du tableau de Doyen "''le Miracle des Ardents"''.}}
{{réf Livre|auteur={{w|Denis Diderot}}
|titre de la contribution =Ruines et Paysages - Salon de 1767
Ligne 219 :
 
{{Citation|Les poètes, prophètes et presbytes sont sujets à voir les mouches comme des éléphants ; les philosophes myopes à réduire les éléphants à des mouches. La poésie et la philosophie sont les deux bouts de la lunette.
|précisions=AÀ propos d'un tableau d'Hubert Robert.}}
{{réf Livre|auteur={{w|Denis Diderot}}
|titre de la contribution =Ruines et Paysages - Salon de 1767