« Nicolas Machiavel » : différence entre les versions

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{{citation|Il n'y a point d'entreprise plus difficile, plus douteuse, ni plus dangereuse que celle de vouloir introduire de nouvelles lois. Parce que l'auteur a pour ennemis tous ceux qui se trouvent bien des anciennes, et pour tièdes défenseurs ceux même à qui les nouvelles tourneraient à profit. Et cette tiédeur vient en partie de la peur qu'ils ont de leurs adversaires, c'est -à -dire de ceux qui sont contents des anciennes ; et en partie de l'incrédulité des hommes, qui n'ont jamais bonne opinion des nouveaux établissements qu'après en avoir fait une longue expérience.}}
{{Réf Livre|référence=Le Prince/Wetstein|chapitre=VI|page=44-45|s=Le Prince}}
 
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{{Réf Livre|référence=Le Prince/Wetstein|chapitre=XIV|page=118|s=Le Prince}}
{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2014|mois=février|jour=17}}
 
 
{{citation|La guerre, les institutions et les règles qui la concernent sont le seul objet auquel un prince doive donner ses pensées et son application, et dont il lui convienne de faire son métier : c'est là la vraie profession de quiconque gouverne ; et par elle, non seulement ceux qui sont nés princes peuvent se maintenir, mais encore ceux qui sont nés simples particuliers peuvent souvent devenir prince.}}
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|jour=26
}}
 
 
{{citation|Un État bien constitué doit donc ordonner aux citoyens l'art de la guerre comme un exercice, un objet d'étude pendant la paix; et, pendant la guerre, comme un objet de nécessité et une occasion d'acquérir de la gloire, mais c'est au gouvernement seul, ainsi que le pratiqua celui de Rome, à l'exercer comme métier.}}
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|page=159}}
 
{{citation|Dans une armée romaine ordinaire, il n'y avait que deux légions de citoyens romains qui formaient chacune environ six cents hommes de cavalerie et onze mille d'infanterie ; on y comptait en outre un pareil nombre d'infanterie et de cavalerie, qui leur était envoyé par leurs alliés. Ces dernières troupes étaient divisées en deux corps qu'on appelait l'un l'aile droite, l'autre l'aile gauche. Jamais une infanterie auxiliaire n'excédait le nombre de l'infanterie des légions ; la cavalerie seulement était plus nombreuses que la cavalerie romaine. (...) Dans les trois circonstances où se trouve une armée, c'est -à -dire en marche, au camp et sur le champs de bataille, les romains plaçaient toujours leurs légions au centre de l'armée.}}
{{Réf Livre
|titre= Machiavel ou l'art du pouvoir (''Le prince'' et ''L'art de la guerre'')
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|partie= Les clés de l'œuvre
|traducteur= Christian Bec}}
 
 
{{autres projets|s=Nicolas Machiavel|commons=Niccolò Machiavelli|w=Nicolas Machiavel}}
 
{{DEFAULTSORT:Machiavel, Nicolas}}
[[Catégorie:Naissance en 1469]]