« Lucrèce » : différence entre les versions

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{{citation|Il est doux, quand sur la grande mer les vents soulèvent les flots, d'assister de la terre aux rudes épreuves d'autrui : non que la souffrance de personne nous soit un plaisir si grand ; mais voir à quels maux on échappe soi-même est chose douce.
|original=<poem>Suave magni maro turbantibus aequora ventis
e terra magnum alterius spectare laborem;
non quia vexari quemquamst jucunda voluptas,
sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.</poem>
|langue=la}}
{{Réf Livre
|auteur=Lucrèce
|éditeur=Gallimard
|collection=Tel
|titre=De la nature
|traducteur=Alfred Ernout
|année=1990 (reprise de la traduction parue aux Belles Lettres en 1984-85)
|livre=II
|vers=1
|page=61}}