« Capital » : différence entre les versions

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Marx cite Dunning, réf.
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{{Réf Livre|référence=Le Capital/PUF
|page=853
|chapitre=XXIV (« La prétendue "accumulation“accumulation initiale"initiale” »)
|section=6. Genèse du capitaliste industriel
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{{citation|Selon le critique, « le capital fuit le tumulte et les conflits. Il est peureux de nature ». Cela est très vrai, mais n'est pourtant pas toute la vérité. Le capital a horreur de l'absence de profit ou des très petits profits comme la nature a horreur du vide. Quand le profit est adéquat, le capital devient audacieux. Garantissez lui 10 pour cent, et on pourra l'employer partout ; à 20 pour cent, il s'anime, à 50 pour cent, il devient carrément téméraire ; à 100 pour cent il foulera aux pieds toutes les lois humaines ; à 300 pour cent, il n'est pas de crime qu'il n'osera commettre, même s'il encourt la potence. Si le tumulte et les conflits rapportent du profit, il les encouragera l'un et l'autre. La preuve : la contrebande et la traite des esclaves.
|précisions=Cité par [[Karl Marx]] dans ''Le Capital''. Dunning répond à un auteur de la ''Quarterly Review''
}}{{Réf Livre|référence=Le Capital/PUF
}}
|page=853-854
|chapitre=XXIV (« La prétendue “accumulation initiale” »)
|section=6. Genèse du capitaliste industriel
|s=Le Capital}}
{{Réf Livre|titre=Trades Unions and Strikes: Their Philosophy and Intention
|auteur=Thomas Joseph Dunning