« Jean Giono » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
The Titou (discussion | contributions)
revoc des annul de Lykos : Trop facile ??? ça ne veut rien dire - ce sont bien des citations de Giono que je trouve profondes et pas trop faciles - merci de passer par pdd avant de déclencher R3R
FrankyLeRoutier (discussion | contributions)
m revert
Ligne 14 :
{{Réf Livre|titre=Colline
|auteur=[[w:Jean Giono|Jean Giono]]
|éditeur=[[w:Éditions Grasset & Fasquelle|Grasset]]
|année=2002
|année d'origine=1929
Ligne 32 :
|année d'origine=1929
|page=132
|ISBN=2-246-12294-5
|collection=Les cahiers rouges
}}
 
{{Citation|De la peau qui tourne au vent de nuit et bourdonne comme un tambour, des larmes de sang noir pleurent dans l'herbe.
}}
{{Réf Livre|titre=Colline
|auteur=[[w:Jean Giono|Jean Giono]]
|éditeur=[[w:Éditions Grasset & Fasquelle|Grasset]]
|année=2002
|année d'origine=1929
|page=?
|ISBN=2-246-12294-5
|collection=Les cahiers rouges
Ligne 68 ⟶ 56 :
|année=2011
|page=23
|collection=Les cahiers rouges
}}
 
{{Citation
|citation=Les choses de la terre, mon vieux, j'ai tant vécu avec elles, j'ai tant fait ma vie dans l'espace qu'elles laissaient, j'ai tant eu d'amis arbres, le vent s'est tant frotté contre moi que, quand j'ai de la peine, c'est à elles que je pense pour la consolation.
}}
{{Réf Livre|titre=Un de Baumugnes
|auteur=[[w:Jean Giono|Jean Giono]]
|éditeur=[[w:Éditions Grasset & Fasquelle|Grasset]]
|année=2011
|page=?
|collection=Les cahiers rouges
}}
Ligne 110 ⟶ 87 :
|année=2011
|page=101
|année d'origine=1930
|ISBN=978-2-246-12334-7
|collection=Les cahiers rouges
}}
 
{{Citation|A la Font-de-la Reine-Porque, le bassin de la fontaine est déjà gelé. C'est une fontaine perdue et malheureuse. elle n'est pas protégée. On l'a laissé comme ça, en pleins champs découverts ; elle est faite d'un tuyau de canne, d'un corps de peuplier creux. Elle est là toute seule. L'été, le soleil qui boit comme un âne sèche son bassin un trois coups de museau, le vent se lave les pieds sous le canon et gaspille toute l'eau dans la poussière. L'hiver, elle gèle jusqu'au cœur. Elle n'a pas de chance, comme toute cette terre.
}}
{{Réf Livre|titre=Regain
|auteur=[[w:Jean Giono|Jean Giono]]
|éditeur=[[w:Éditions Grasset & Fasquelle|Grasset]]
|année=2011
|page=?
|année d'origine=1930
|ISBN=978-2-246-12334-7
Ligne 153 ⟶ 118 :
|page=177
|ISBN=2-246-33644-9
|collection=Les cahiers rouges
}}
 
{{Citation|
Dans toi il n'y a déjà plus d'homme, il n'y a plus que la matière de cent sauterelles neuves, de dix lézards, de trois serpents, d'un beau rectangle d'herbe drue et peut-être le cœur d'un arbre.
}}
{{Réf Livre|titre=Jean le Bleu
|auteur=[[w:Jean Giono|Jean Giono]]
|éditeur=[[w:Éditions Grasset & Fasquelle|Grasset]]
|année=2005
|année d'origine=1932
|page=?
|ISBN=2-246-33644-Z
|collection=Les cahiers rouges
}}
Ligne 187 ⟶ 139 :
|ISBN=2-246-12373-9
|page=13
}}
 
{{citation|Le monde se trompe, dit Bobi. Vous croyez que c'est ce que vous gardez qui vous fait riche. On vous l'a dit. Moi je vous dis que c'est ce que vous donnez qui vous fait riche. Qu'est ce que j'ai moi, regarder moi.<br>
[...]
<br>Vous n'avez d'autre grange que cette grange là, dit-il en frappant la poitrine. Tout ce que vous entassez hors de votre cœur est perdu.
}}
{{Réf Livre
|titre=Que ma joie demeure
|auteur=Jean Giono
|éditeur=Grasset
|collection=Les cahiers rouges
|année=1996
|année d'origine=1935
|ISBN=2-246-12373-9
|page=?
}}