« James Crumley » : différence entre les versions

|éditeur=Gallimard}}

 

 

{{citation|Il y a parfois des parents qui ne connaissent même pas leurs propres enfants.}}

|auteur=James Crumley

|page=29

 

{{citation|Nous sommes constamment trahis par notre organisme. Malgré le chagrin et l'angoisse qui devraient en contrarier le rythme, le cœur continue son boulot sans faire d'histoires.}}

|auteur=James Crumley

|page=115

 

{{citation|L'homme qui sait préserver un peu d'enfance en lui s'épargne sans doute les attaques de l'âge, mais celui que l'on cantonne délibérément dans la puérilité se voit vieillir avant l'heure.}}

|auteur=James Crumley

|page=220

 

{{citation|Pour vieillir, faut déjà se souvenir.}}

|auteur=James Crumley

|page=263

 

{{citation|Mieux vaut con que mort.}}

|auteur=James Crumley

|page=325

 

{{citation|Le problème avec les gens qui changent brusquement leur fusil d'épaule, c'est qu'on ne sait jamais si c'est pour de bon, ou bien pour mieux vous tirer dans le dos.}}

|auteur=James Crumley

|page=381

|traducteur=Nicolas Richard}}

 

{{réf livre|titre=Le Canard siffleur mexicain

|auteur=James Crumley

{{DEFAULTSORT:Crumley, James}}

[[Catégorie:Écrivain américain]]

[[Catégorie:Naissance en 1939]]

[[Catégorie:Décès en 2008]]