« Élection présidentielle française de 2002 » : différence entre les versions

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== Citations ==
 
{{citation
|citation=D'ailleurs, le questionnement de nos élites illustre parfaitement la malhonnêteté intellectuelle qui les anime. Plutôt que de s'interroger sur le bien-fondé de la société qu'ils cherchent à bâtir; leur unique travail consiste à savoir comment mieux faire comprendre à la population la justesse de leur projet. Bref, la seule raison qu'ils avancent pour expliquer une telle abstention et autant de votes lepénistes tient dans un manque de communication. Leur conclusion est simple: la machine de propagande doit donc être améliorée et intensifiée. La messe est dite!
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{{Réf Article
|titre=Les deux Frances du 21 avril
|auteur=Karl Hauffen
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|date=été 2002
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{{citation
|citation=(...) pas un journal n'a relevé que cette France qui était descendue dans la rue n'était pas toute la France. Mais bien une certaine France. La France exposée aux affres de la mondialisation était invitée à se taire sous la menace d'une France, elle, protégée. La France des fonctionnaires syndiqués, des emplois subventionnés et des entreprises publiques sifflait la fin de la récréation et sommait la France qui bosse de retourner à ses ateliers ou à ses bureaux et de ne plus s'occuper de politique.
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{{Réf Article
|titre=Les deux Frances du 21 avril
|auteur=Karl Hauffen
|publication={{w|Jeune Résistance}}
|numéro=27
|date=été 2002
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|ISSN=1279 - 4759
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{{citation
|citation=En brandissant la menace de l'élection de Le Pen à la présidence de la République, dont ils savaient parfaitement que cela ne pouvait pas se produire dans le contexte d'aujourd'hui, en évoquant un danger fasciste inexistant, les partis de gauche d'une part ont cherché à faire oublier le recul du nombre de voix des classes populaires qui se sont portées sur eux et, d'autre part, ont transformé leur propre recul en avancée de Le Pen.