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Ajout d'une citation de Jean d'Ormesson
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{{Réf Livre|titre=Ressusciter
|auteur={{w|[[Christian Bobin}}]]
|éditeur=Gallimard
|année=2001
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{{Réf Livre
|titre=Un assassin blanc comme neige
|auteur=[[Christian Bobin]]
|éditeur=Gallimard
|année=2011
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{{Réf Livre
|titre= Le désert des Tartares
|auteur= [[Dino Buzzati]]
|éditeur= Robert Laffont
|collection=Pavillons
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{{Réf Livre
|titre= Le désert des Tartares
|auteur= [[Dino Buzzati]]
|éditeur= Robert Laffont
|collection=Pavillons
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{{Réf Livre|titre=La liberté ou l'amour !|auteur=[[Robert Desnos]]|éditeur=Gallimard|collection=L'Imaginaire|année=1962|année d'origine=1927|page=99|section=IX. Le palais des mirages|ISBN=978-2-07-027695-0}}
 
====[[Pierre Desproges]]====
{{citation|citation=(...) oui on peut rire de tout, on doit rire de tout. De la guerre, de la misère et de la mort. Au reste, est-ce qu’elle se gêne, elle, la mort, pour se rire de nous ? Est-ce qu’elle ne pratique pas l’humour noir, elle, la mort ? Regardons s’agiter ces malheureux dans les usines, regardons gigoter ces hommes puissants boursouflés de leur importance, qui vivent à cent à l’heure. Ils se battent, ils courent, ils caracolent derrière leur vie, et tout d’un coup ça s’arrête, sans plus de raison que ça n’avait commencé, et le militant de base, le pompeux P.D. G., la princesse d’opérette, l’enfant qui jouait à la marelle dans les caniveaux de Beyrouth, toi aussi à qui je pense et qui a cru en Dieu jusqu’au bout de ton cancer, tous, tous nous sommes fauchés un jour par le croche-pied rigolard de la mort imbécile, et les droits de l’homme s’effacent devant les droits de l’asticot.}}
{{Réf Livre|titre=Les réquisitoires du tribunal des flagrants délires - Tome I|auteur=[[Pierre Desproges]]|éditeur=Points|année=2003|page=102-107|section=Réquisitoire contre [[w:Jean-Marie Le Pen|Jean-Marie Le Pen]] le {{date|28|septembre|1982}}|ISBN=978-2020685368}}
 
==== [[Épicure]] ====
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}}
{{Réf Livre|titre=L'équipage
|auteur=[[w:Joseph Kessel|Joseph Kessel]]
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
Ligne 208 :
}}
{{Réf Livre|titre=Les captifs
|auteur=[[w:Joseph Kessel|Joseph Kessel]]
|éditeur=Gallimard
|collection=nrf
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{{Réf Livre
|titre=La Désobéissance
|auteur=[[Alberto Moravia]]
|éditeur=Denoël
|année=1993
Ligne 283 :
==== [[Michel Onfray]]====
{{citation|La philosophie, l'art et la religion existent parce que la mort oblige les hommes à inventer des parades pour ne pas avoir à succomber et à trembler d'effroi devant elle.}}
{{Réf Livre|titre=La Lueur des orages désirés. Journal hédoniste IV|auteur=[[Michel Onfray]]|éditeur=Grasset|année=2007|page=13}}
 
==== [[Jean d'Ormesson]], ''La Douane de mer'', 1994====
{{citation|citation=Il n'y aurait qu'une chose de pire que de mourir : ce serait de ne pas mourir. Ne me replonge pas dans la vie : elle n'a de prix que parce qu'elle cesse. Tous, ou presque tous, nous avons peur de mourir. Mais une fois dans la mort, dans la paix, dans l'oubli, aurions-nous envie de revenir sur cette Terre ?
}}
{{réf Livre
|auteur=[[Jean d'Ormesson]]
|titre=La Douane de mer
|éditeur=Gallimard
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|année d'origine=1994
|page=227
}}
 
{{citation|
Ce qu'il y a de plus étrange dans la mort, c'est cette barrière infranchissable qui la sépare de la vie. On dirait un fait exprès. Très loin dans le passé, il y a des millions et des millions de siècles, un mur s'élève tout au début pour nous empêcher de connaître notre origine. Très près dans l'avenir, dans quelques années, dans quelques mois ou peut-être demain, un mur s'élève tout à la fin pour nous empêcher de connaître notre destin. <br />
Nous ignorons d'où nous venons, nous ignorons où nous allons. Nous sommes tous des égarés.
}}
{{Réf Livre
|titre=Guide des égarés
|auteur=[[Jean d'Ormesson]]
|éditeur=Gallimard
|collection=nrf
|année=2016
|ISBN=978-2-07-269436-3
|page=66, 67
}}
 
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