« Carlos Ruiz Zafón » : différence entre les versions

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== ''{{w|L'Ombre du vent}}'', 2004 ==
 
{{Citation|[...] rien ne marque autant un lecteur que le premier livre qui s'ouvre vraiment un chemin jusqu'à son cœur.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=14}}
 
{{Citation|<poem>- Je veux te montrer quelque chose.
- Maintenant, à cinq heures du matin ?
- Il y a des choses que l'on ne peut voir que dans le noir […]
</poem>}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=10}}
 
{{Citation|{{personnage|Clara}} — Ne fait jamais confiance à personne, Daniel, et surtout pas à ceux que tu admires. ceCe sont eux qui te porteront les coups les plus terribles.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=10}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=26232|partie=19541945-1949 - VillesJour de d'ombrescendre|chapitre=123}}
 
{{Citation|La ferveur infantile est une maîtresse infidèle et capricieuse [...]}}
{{Citation|{{personnage|Clara}} — Ne fait jamais confiance à personne, Daniel, et surtout pas à ceux que tu admires. ce sont eux qui te porteront les coups les plus terribles.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=3248|partie=1945-1949 - Jour de cendre|chapitre=35}}
 
{{Citation|Le jour [...] où vous déciderez d'apprendre comment on cambriole une [http://l4.yt/Banque banque] ou, ce qui revient au même, comment on en fonde une [...]}}
{{Citation|La ferveur infantile est une maîtresse infidèle et capricieuse [...]}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=48|partie=1945-1949 - Jour de cendre|chapitre=575}}
 
{{Citation|Le jour [...] où vous déciderez d'apprendre comment on cambriole une [http://l4.yt/Banque banque] ou, ce qui revient au même, comment on en fonde une [...]}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=75}}
 
{{Citation|Armée, Mariage, Église et Banque : les quatre cavaliers de l'Apocalypse.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=110}}
 
{{Citation|Ce monde ne mourra pas d'une bombe atomique, comme le disent les journaux, il mourra de rire, de banalité, en transformant tout en farce et, de plus, en mauvaise farce.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=121}}
 
{{Citation|{{personnage|Fermín}} — En plus, avec son allure de boxeur, il aura beaucoup de difficulté dans les cercles académiques, parce que, sur cette terre, le préjugé domine tout.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=128|partie=1953 - Trompeuse apparence|chapitre=2}}
 
{{Citation|{{personnage|Fermín}} — Le service militaire ne sert qu'à découvrir le pourcentage de lèche-bottes qui sévissent ici-bas [...]}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=130|partie=1953 - Trompeuse apparence|chapitre=3}}
 
{{Citation|Les gens caquettent à qui mieux mieux. L'homme ne descend pas du singe, il descend de la poule.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=141}}
 
{{Citation|Ah ! l'armée, fléau et refuge tribal du corporatisme simiesque.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=148}}
 
{{Citation|{{personnage|Fermín}} — Les gens caquettent à qui mieux mieux. L'homme de descend pas du singe, il descend de la poule.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=166|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=3}}
 
{{Citation|M. Frederico vivait avec une mère octogénaire et sourde comme un pot, connue dans le quartier sous le nom de ''La Pepita'' et célèbre pour ses flatuosités qui faisaient chuter de son balcon les moineaux étourdis par leur force cyclonique.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=204|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=5}}
 
{{Citation|{{personnage|Daniel}} — Un bon père ?<br />{{personnage|Fermín}} — Oui, comme le vôtre. Un homme possédant une tête, un cœur et une âme. Un homme capable d'écouter, de guider et de respecter un enfant, et non de l'étouffer sous ses propres défauts.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=245|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=9}}
 
{{Citation|Le destin attend toujours au coin de la rue. Comme un voyou, une pute ou un vendeur de loterie : ses trois incarnations favorites. Mais il ne démarche pas à domicile, il faut aller à sa rencontre.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=250}}
 
{{Citation|Le moyen le plus efficace de rendre les pauvres inoffensifs est de leur apprendre à vouloir imiter les riches.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=266262|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=12}}
{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2017|mois=janvier|jour=9}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=262|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=12}}
 
{{Citation|Des années d'enseignement lui avait donné le ton ferme et didactique de celui qui est habitué à être entendu mais se demande s'il est écouté.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=491266|partie=Nuria1954 Montfort:- mémoireVilles de revenantsd'ombres|chapitre=212}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=266|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=12}}
 
{{Citation|Elle s'éloigna dans l'obscurité, portant toujours son seau et traînant son ombre comme un voile nuptial.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=333|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=17}}
 
{{Citation|J'observai le groupe de déchets humains qui gisait là et leur souris. Leur simple vue me suggéra que l'on pourrait s'en servir pour faire la propagande du vide moral de l'univers et de la brutalité mécanique avec laquelle celui-ci détruisait les pièces devenues inutiles.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=334|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=17}}
 
{{Citation|L'attente est la rouille de l'âme.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=346}}
 
{{Citation|Faire confiance aux femmes est une chose, et faire confiance à ce qu'elles disent en est une autre.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=347}}
 
{{Citation|<poem>{{Mme}} Aldaya n'était qu'un élément du décorsdécor, un personnage secondaire qui entrait et sortait selon les indications de la mise en scène. Avant d'aller se coucher, elle allait souhaiter bonne nuit à sa fille et lui assurait qu'elle l'aimait plus que tout au monde, qu'elle était ce qu'il y avait de plus important dans l'univers. Jacinta ne dit jamais à Pénélope qu'elle l'aimait. La gouvernante savait qu'aimer vraiment c'est aimer en silence, avec des actes et non des mots.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=350|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=18}}
 
{{Citation|<poem>- De quoi souffre-t-il ?
- Je pourrais vous dire que c'est du cœur, mais il meurt de solitude. Les souvenirs sont pires que les balles.
</poem>}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=75461}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=461}}
 
{{Citation|[…] nous restons vivants tant que quelqu'un se souvient de nous.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=481}}
 
{{Citation|{{personnage|Miquel Moliner}} — La difficulté n'est pas de gagner de l'argent, se lamentait-il. La difficulté est de le gagner en faisant quelque chose qui en vaille la peine.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=513491|partie=Nuria Montfort : mémoire de revenants|chapitre=52}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=491|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=2}}
 
{{Citation|Francisco Javier Fumero était entré dans la Brigade Criminelle, où il y avait toujours un emploi pour un personnel qualifié, capable d'affronter les affaires les plus difficiles et les plus ingrates, où la discrétion était de rigueur pour que des gens respectables puissent continuer de vivre avec leurs illusions.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=536513|partie=Nuria Montfort : mémoire de revenants|chapitre=85}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=513|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=5}}
 
{{Citation|Ce que le fleuriste avait interprété comme de la mauvaise humeur n'était que la fermeté d'esprit de ceux qui, mieux vaut tard que jamais, ont trouvé un but dans leur vie et le poursuivent avec la férocité que donne le temps gaspillé.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=540536|partie=Nuria Montfort : mémoire de revenants|chapitre=98}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=536|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=8}}
 
{{Citation|Deux hommes chargèrent les corps et suggérèrent au gérant du café de tout oublier sous peine de connaître de graves problèmes. N'oublie jamais la faculté d'oublier qu'élèvent les guerres, Daniel.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=542540|partie=Nuria Montfort : mémoire de revenants|chapitre=9}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=540|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=9}}
 
{{Citation|Je dus prendre sur moi pour ne pas courir dans la rue, pour garder le pas anonyme et gris des gens sans secrets.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombreOmbre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=461542|partie=Nuria Montfort : mémoire de revenants|chapitre=9}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=542|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=9}}
 
== ''[[w:Le Jeu de l'ange|Le Jeu de l'ange]]'', 2008 ==
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{{Réf Livre|titre=Le Jeu de l'ange |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Pocket|année=2009|page=153|chapitre=24|partie=Premier acte - La Ville des maudits}}
 
{{citation|"« Dis-moi de quoi tu te vantes et je te dirai ce qui te manque." »}}
{{Réf Livre|titre=Le Jeu de l'ange |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Pocket|année=2009|page=210|chapitre=8|partie=Deuxième acte - Lux aeterna}}
 
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{{Réf Livre|titre=Le Jeu de l'ange |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Robert Laffont|année=2009|page=260}}
 
{{citation|Le problème réside dans le fait que l'homme est un animal moral abandonné dans un monde [[wikt:amoral|amoral]], condamné à une existence finie et sans autre signification que de perpétuer le cycle naturel de l'espèce. Il est impossible à un être humain de survivre dans un état prolongé de cette réalité.}}
{{Réf Livre|titre=Le Jeu de l'ange |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Robert Laffont|année=2009|page=261}}
 
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{{Réf Livre|titre=Le Jeu de l'ange |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Robert Laffont|année=2009|page=308}}
 
{{citation|{{personnage|Grandes}} - C'est vous le narrateur. Je vous demande seulement de me dire la vérité.<br />{{personnage|David}} - Je ne sais pas qu'elle est la vérité.<br />- La vérité est ce qui fait mal.}}
{{Réf Livre|titre=Le Jeu de l'ange |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Robert Laffont|année=2009|page=480}}
 
Ligne 157 ⟶ 150 :
{{citation|citation=
Je pense que nous devrions faire demi-tour et nous éloigner d’ici, murmura-t-il en reculant de plusieurs pas.<br />
:–{{Tab}}— Ne fais pas ta poule mouillée.
:–{{Tab}}— lesLes gens n’apprécient pas les poules à leur juste valeur. Sans elles il n’y aurait pas d’œufs […]<br />}}
 
{{Réf Livre|titre= Marina
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
Ligne 168 ⟶ 160 :
|ISBN= 978-2-221-11652-4}}
 
{{citation|citation=Quand elle me fixa de nouveau, ce fut pour m’examiner des pieds à la tête, comme on évalue un vieux meuble sorti d’un débarras.}}
{{citation|citation=
<br />
Quand elle me fixa de nouveau, ce fut pour m’examiner des pieds à la tête, comme on évalue un vieux meuble sorti d’un débarras.}}
 
{{Réf Livre|titre= Marina
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
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{{citation|citation=
Le temps fait du corps ce que la bêtise fait de l'âme, dit-il en se désignant lui-même. Il le pourrit.}}
 
{{Réf Livre|titre= Marina
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
Ligne 193 ⟶ 181 :
{{citation|citation=
L'envie est un aveugle qui cherche à vous arracher les yeux.}}
 
{{Réf Livre|titre= Marina
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
Ligne 204 ⟶ 191 :
{{citation|citation=
La jeunesse est une maîtresse capricieuse. Nous sommes incapables de la comprendre et de l'apprécier jusqu'au jour où elle part avec un autre pour ne jamais revenir.}}
 
{{Réf Livre|titre= Marina
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
Ligne 214 ⟶ 200 :
 
{{citation|citation=Marina continuait d'écrire dans le livre que je lui avais donné, mais elle ne m'en laissait pas lire une ligne.
: -{{Tab}}— Qu'est-ce que tu racontes ? Demandaidemandai-je.
: -{{Tab}}— C'est une question idiote
: -{{Tab}}— C'est le rôle des idiots de poser des questions idiotes. Et c'est celui des personnes intelligentes de leur répondre. Qu'est-ce que tu racontes ?}}
 
{{Réf Livre|titre= Marina
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
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{{citation|citation=
<br />
J'ai distingué au loin la silhouette de mon ancien collège, mais je n'ai pas eu la force de m'en approcher davantage. Quelque chose me disait que si je le faisais, ma jeunesse s'évaporerait définitivement. Le temps ne nous rend pas plus sages, seulement plus lâches.}}
 
{{Réf Livre|titre= Marina
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
Ligne 238 ⟶ 221 :
|ISBN= 978-2-221-11652-4}}
 
== ''Le prisonnierPrisonnier du ciel'', 2012 ==
 
{{citation|citation=
C’est un fait scientifiquement prouvé que tout bébé de quelques mois sait déceler, avec un infaillible instinct, le moment exact du petit matin où ses parents ont réussi à trouver le sommeil pour se mettre à pleurer et leur éviter ainsi de dormir plus de trente minutes d’affilée.
}}
{{Réf Livre|titre= Le prisonnierPrisonnier du ciel
 
{{Réf Livre|titre= Le prisonnier du ciel
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
|traducteur=François Maspero
Ligne 255 ⟶ 237 :
{{citation|citation=
Je ne suis d’aucun bord, répliqua Fermín. Pour moi, les drapeaux sont des chiffons de couleur qui sentent le renfermé, et il me suffit de voir quelqu’un se draper dedans et se remplir la bouche d’hymnes pour que ça me donne la colique. J’ai toujours pensé que pour s’attacher si fort à un troupeau, il faut avoir quelque chose du mouton.
 
}}
{{Réf Livre|titre= Le prisonnierPrisonnier du ciel
 
{{Réf Livre|titre= Le prisonnier du ciel
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
|traducteur=François Maspero
Ligne 268 ⟶ 248 :
 
{{citation|citation=
Et vous croyez, jeune homme, que je pourrai respirer là-dedans ?<br />
Mon chou, vous vous mariez au sein de notre sainte mère L’Églisel’Église avec un mâle ibérique. Pas question de respirer, je vous assure. Une robe de mariée est comme un scaphandre : ce n’est pas le meilleur endroit pour respirer, l’agrément vient quand on la quitte.
 
}}
{{Réf Livre|titre= Le prisonnierPrisonnier du ciel
 
{{Réf Livre|titre= Le prisonnier du ciel
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
|traducteur=François Maspero
Ligne 285 ⟶ 263 :
Les hommes sont comme les marrons qu’on nous vend dans la rue : quand on les achète, ils sont tout brûlants et ils sentent bon, puis dès qu’on les sort de leur écorce ils refroidissent tout de suite et on s’aperçoit qu’ils sont presque tous gâtés à l’intérieur.
}}
{{Réf Livre|titre= Le prisonnierPrisonnier du ciel
 
{{Réf Livre|titre= Le prisonnier du ciel
|auteur= Carlos Ruiz Zafón
|traducteur=François Maspero
Ligne 295 ⟶ 272 :
}}
 
{{autres projets|commons=Category:Carlos Ruiz Zafón|w=Carlos Ruiz Zafón}}
 
{{DEFAULTSORT:Ruiz Zafon, Carlos}}