« Jésus » : différence entre les versions

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Les citations françaises sont issues de la traduction du [[w:Nouveau Testament|Nouveau Testament]] par [[w:John Nelson Darby|John Nelson Darby]], publiée en 1872, ([[s:Nouveau Testament - Darby|texte intégral disponible en ligne sur Wikisource]]).
=== L'[[w:Évangile selon Matthieu|Évangile selon Matthieu]] ===
 
{{citation|citation=Je ne suis pas venu apporter la paix sur terre, mais l'épée.
|précisions=Nouveau Testament – Évangile selon Matthieu (Matthieu 10:34)}}
{{Réf Livre|titre=La religion contre l’humanité : Apologie du blasphème
|auteur={{[[Jean-Paul Gouteux]]}}
|éditeur=matériologiques
|année=2011
|page=105
|ISBN=}}
 
{{citation|citation=Je suis venu pour créer la division : On sera contre son propre père, la fille s'opposera à sa mère et la jeune mariée à sa belle-mère.
|précisions=Nouveau Testament – Évangile selon Matthieu (Matthieu 10:34)}}
{{Réf Livre|titre=La religion contre l’humanité : Apologie du blasphème
|auteur={{[[Jean-Paul Gouteux]]}}
|éditeur=matériologiques
|année=2011
|page=105
|ISBN=}}
 
{{citation|citation=Chacun aura pour ennemi les gens de sa maison.
|précisions=Nouveau Testament – Évangile selon Matthieu (Matthieu 10:34)}}
{{Réf Livre|titre=La religion contre l’humanité : Apologie du blasphème
|auteur={{w|Jean-Paul Gouteux}}
|éditeur=matériologiques
|année=2011
|page=105
|ISBN=}}
 
{{citation|citation=Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi. Celui qui aime son fils et sa fille plus que moi n'est pas digne de moi. Et, celui qui ne prend pas sa croix pour marcher derrière moi n'est pas digne de moi. Celui qui vit pour soi la perdra et celui qui la sacrifie pour moi l'aura finalement pour lui...
|précisions=Nouveau Testament – Évangile selon Matthieu (Matthieu 10:34)}}
{{Réf Livre|titre=La religion contre l’humanité : Apologie du blasphème
|auteur={{w|Jean-Paul Gouteux}}
|éditeur=matériologiques
|année=2011
|page=105
|ISBN=}}
 
{{citation|citation=Bienheureux les pauvres qui reconnaissent leur pauvreté spirituelle, car le royaume des cieux leur appartient ; bienheureux ceux qui pleurent, car c’est eux qui seront consolés ; bienheureux les doux, car c’est eux qui hériteront de la terre ; bienheureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car c’est eux qui seront rassasiés ; bienheureux les miséricordieux, car c’est à eux que miséricorde sera faite ; bienheureux ceux qui sont purs de cœur, car c’est eux qui verront Dieu ; bienheureux ceux qui procurent la paix, car c’est eux qui seront appelés fils de Dieu ; bienheureux ceux qui sont persécutés à cause de la justice, car c’est à eux qu’est le royaume des cieux. Vous êtes bienheureux quand on vous injuriera, et qu’on vous persécutera, et qu’on dira, en mentant, toute espèce de mal contre vous, à cause de moi.
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{{Citation|Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d’un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d’un sage, la vie et la mort de Jésus sont d’un Dieu. Dirons-nous que l’histoire de l’Évangile est inventée à plaisir ? Mon ami, ce n’est pas ainsi qu’on invente ; et les faits de Socrate, dont personne ne doute, sont moins attestés que ceux de Jésus-Christ.}}
{{réf Livre|auteur=[[Jean-Jacques Rousseau]] |titre=Émile, ou De l’éducation|chapitre=IV|partie=Profession de foi du vicaire savoyard|s=http://fr.wikisource.org/wiki/%C3%89mile,_ou_De_l%E2%80%99%C3%A9ducation/%C3%89dition_1782/Livre_IV|éditeur=Genève|année=1782|page=20}}
 
=== [[Donatien Alphonse François de Sade|Sade]], ''Dialogue entre un prêtre et un moribond : suivi d'une Pensée'', 1782 ===
{{Citation|citation=<poem>
{{Personnage|Le moribond }} : Reviens à la raison, prédicant, ton Jésus ne vaut pas mieux que Mahomet, Mahomet pas mieux que Moïse, et tous trois pas mieux que [[Confucius]] qui pourtant dicta quelques bons principes pendant que les trois autres déraisonnaient ; mais en général tous ces gens-là ne sont que des imposteurs, dont le philosophe s'est moqué, que la canaille a crus et que la justice aurait dû faire pendre.
{{Personnage|Le prêtre }} : Hélas, elle ne l'a que trop fait pour l'un des quatre.
{{Personnage|Le moribond }} : C'est celui qui le méritait le mieux. Il était séditieux, turbulent, calomniateur, fourbe, libertin, grossier farceur et méchant dangereux, possédait l'art d'en imposer au peuple et devenait par conséquent punissable dans un royaume en l'état où se trouvait alors celui de Jérusalem. Il a donc été très sage de s'en défaire et c'est peut-être le seul cas où mes maximes, extrêmement douces et tolérantes d'ailleurs, puissent admettre la sévérité de Thémis.
</poem>}}
{{ réf Livre|auteur=[[Donatien Alphonse François de Sade]]|titre=Dialogue entre un prêtre et un moribond : suivi d'une Pensée|éditeur=J. J. Pauvert|année=1953|année d'origine=1782|page=50}}
 
=== [[Donatien Alphonse François de Sade|Sade]], ''La Philosophie dans le boudoir'', 1795 ===
{{Citation|{{Personnage|Dolmancé}} : [...] c'est pour nous sauver tous, assure l'imbécile [Jésus], qu'il a pris chair, quoique dieu, dans le sein d'une enfant des hommes ; et les miracles éclatants qu'on va lui voir opérer, en convaincront bientôt l'univers ! Dans un souper d'ivrognes, en effet, le fourbe change, à ce qu'on dit, l'eau en vin ; dans un désert, il nourrit quelques scélérats avec des provisions cachées que ses sectateurs préparèrent; un de ses camarades fait le mort, notre imposteur le ressuscite ; il se transporte sur une montagne, et là, seulement devant deux ou trois de ses amis, il fait un tour de passe-passe dont rougirait le plus mauvais bateleur de nos jours. Maudissant d'ailleurs avec enthousiasme tous ceux qui ne croient pas en lui, le coquin promet les cieux à tous les sots qui l'écouteront. Il n'écrit rien, vu son ignorance ; parle fort peu, vu sa bêti ; fait encore moins, vu sa faiblesse, et, lassant à la fin les magistrats, impatientés de ses discours séditieux, quoique fort rares, le charlatan se fait mettre en croix, après avoir assuré les gredins qui le suivent que, chaque fois qu'ils l'invoqueront, il descendra vers eux pour s'en faire manger. On le supplicie, il se laisse faire. Monsieur son papa, ce Dieu sublime, dont il ose dire qu'il descend, ne lui donne pas le moindre secours, et voilà le coquin traité comme le dernier des scélérats, dont il était si digne d'être le chef.}}
{{réf Livre|auteur=[[w:Donatien Alphonse François de Sade|Donatien Alphonse François de Sade]]|titre=Œuvres De Sade|éditeur=Jeune Parque|année=1947|titre de la contribution=La philosophie dans le boudoir |année de la contribution=1795|page=171-172}}
 
=== [[Francis Picabia]], ''Dactylocoque'', 1922 ===
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Le petit Jésus, sur une vache, est descendu un soir de réveillon dans ma cheminée afin de me prendre ce que j'avais dans mes bottines ! Il fut très déçu de n'y trouver que son portrait. Il ne pouvait décemment le rapporter, à cause de la Sainte Vierge.</poem>}}
{{Réf Article|titre=Dactylocoque|auteur=[[Francis Picabia]]|publication=Littérature Nouvelle Série|numéro=7|date=Décembre 1922|page=10}}
 
=== [[François Cavanna]], ''Lettre ouverte aux culs-bénits'', 1994 ===
{{Citation| Dites voir, s'ils l'avaient empalé, leur Jésus-Christ, où les porteraient-ils, les stigmates, les élus de Dieu ?}}
{{réf Livre|auteur=[[:w:François Cavanna|François Cavanna]]|titre=Lettre ouverte aux culs-bénits|éditeur=Albin Michel|année=1994 |page=165}}
 
=== [[François Reynaert]], ''Nos ancêtres les gaulois et autres fadaises'', 2010 ===
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