« Langue française » : différence entre les versions
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Ligne 34 :
==== André Chamson, ''Suite cévenole'', 1968 ====
{{citation
|Si grand-mère voulait
|précisions = Dans les Cévennes, vers 1910, la langue de la vie quotidienne est la langue
}}
{{Réf Livre
Ligne 45 :
|partie= Les quatre éléments
|chapitre= Le pouvoir des mots
}}
== [[Albert Dauzat]]==
{{citation|Même explication pour la scission, si bizarre de prime d’abord, qui, vers la même époque, a coupé en deux séries l’ancienne diphtongue ''oi'' dans les mots français. Tandis que la majorité d’entre eux conservaient la prononciation traditionnelle ''ouè'', dans les autres ''ouè'' se réduisait à ''è'' (écrit ''ai'' à partir du XVIIIe siècle) : dans les imparfaits et les conditionnels (''chantais'', ''chanterais'', etc.), dans certains noms de peuples comme ''Anglais'', ''Français'', etc., et dans des mots isolés comme ''frais'', ''faible'', ''monnaie''. Nous avons un doublet parfait dans ''François-Français'', le nom de peuple s’écrivant, jusqu’au XVIIIe siècle, comme le prénom, et s’étant prononcé longtemps ''Fransouè'' comme lui.
}}
{{réf Livre
|auteur=[[:w:Albert Dauzat|Albert Dauzat]]
|titre= La Géographie linguistique
|éditeur= Flammarion
|année= 1922
|partie= deuxième : Les phénomènes internes du langage.
|chapitre= premier : Les changements de forme – Régression; rencontres et attractions homonymiques
|page= 69
}}
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