{{citation|citation=<i>Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela l’''argumentum ad personam'' pour faire la différence avec l’''argumentum ad hominem''.</i> — [[Arthur Schopenhauer]]</div>▼
<i>
▲{{citation|citation=Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela l’''argumentum ad personam''
pour faire la différence avec l’''argumentum ad hominem''.}}
{{Réf Livre|titre={{w|L’art d'avoir toujours raison|La Dialectique éristique}} (titre original ''Eristische Dialektik'')
|auteur=[[Arthur Schopenhauer]]
|éditeur=Mille et une nuits
|année=1998
|page=66
|ISBN=978-2-755-50242-8
|traducteur=
|année d'origine=1830
|langue=fr
}}
<div style="text-align:right;">
Vous pouvez la trouver sur la page : [[Arthur Schopenhauer]]