« Dominique Venner » : différence entre les versions

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{{citation|[[:w:Mohamed Merah|Mohamed Merah]] obligeant la police à l’abattre, Dominique Venner se suicidant à Notre Dame. Les deux hommes avaient tant de choses en commun ! La haine de la France et de la République, le rejet des mœurs libres du monde occidental, et, sous une forme ou l’autre, l’antisémitisme.}}
{{Réf Pub|nom=Guy Konopnicki|date={{Date|22|mai|2013}}|lieu=[[:w:Guy Konopnicki|Guy Konopnicki]]|source=[http://www.marianne.net/Dominique-Venner-le-profanateur-de-Notre-Dame_a229016.html Dominique Venner, le profanateur de Notre Dame] |parution={{Date|22|mai|2013}}}}
 
{{citation| Dominique Venner n’était ni un extrémiste ni un nihiliste et surtout pas un désespéré. Les réflexions sur l’histoire auxquelles il s’était livré pendant si longtemps l’avaient amené, au contraire, à développer un certain optimisme. Ce qu’il retenait de l’histoire c’est qu’elle est imprévisible et qu’elle est toujours ouverte, qu’elle fait les hommes, et que la volonté des hommes la fait également. Dominique Venner récusait toutes les fatalités, toutes les formes de désespoir.
 
Je dirais paradoxalement, parce qu’on ne l’a pas suffisamment remarqué, que son désir de se donner la mort était une façon de protester contre le suicide, une façon de protester contre le suicide de l’Europe auquel il assistait depuis tant de temps. }}
{{Réf Pub|nom=Hommage à Dominique Venner|date={{Date|31|mai|2013}}|lieu=[[:w:Alain de Benoist|Alain de Benoist]]|source=[http://gaelle.hautetfort.com/archive/2013/06/21/les-raisons-de-vivre-et-les-raisons-de-mourir-sont-bien-souv.html] |}}
 
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