« George Sand » : différence entre les versions

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{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=Indiana|éditeur=Gallimard|collection=Folio classiques|section=Première partie, chapitre 7|année=1984|année d'origine=1832|page=100-101}}
 
{{citation|citation= Il n'y avait qu'une chose au monde qui fût plus insignifiant que ce portrait, c'était l'original.|précisions = AÀ propos d'un portrait peint représentant Sir Ralph.}}
{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=Indiana|éditeur=Gallimard|collection=Folio classiques|section=Première partie, chapitre 8|année=1984|année d'origine=1832|page=108}}
 
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{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=Indiana|éditeur=Gallimard|collection=Folio classiques|section=Deuxième partie, chapitre 14|année=1984|année d'origine=1832|page=166}}
 
{{citation|citation=On n'imagine pas ce que les divisions d'opinions apportent d'aigreur et de fiel entre les proches ; ce n'est la plupart du temps qu'une occasion pour se reprocher les défauts du caractère, les travers de l'esprit et les vices du coeurcœur. On n'eût pas osé se traiter de fourbe, d'imbécile, d'ambitieux et de poltron. On enferme les mêmes idées sous le nom de ''jésuite'', de ''royaliste'', de ''révolutionnaire'' et de ''juste-milieu''. Ce sont d'autres mots, mais ce sont les mêmes injures, d'autant plus poignantes qu'on s'est permis réciproquement de se poursuivre et de s'attaquer sans relâche, sans indulgence, sans retenue.|précisions = Remarque de l'auteure dans un développement sur les discussions politiques entre trois des personnages principaux.}}
{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=Indiana|éditeur=Gallimard|collection=Folio classiques|section=Deuxième partie, chapitre 14|année=1984|année d'origine=1832|page=171}}
 
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=== ''Melchior'' (nouvelle), 1832 ===
{{citation|citation=Peut-être que la conscience de la nullité n'est que le premier pas vers un noble essor. Les sots ne l'ont jamais. L'ignorance peut se passer longtemps de modestie ; mais, si elle vient un jour à rougir d'elle-même, elle n'est déjà plus l'ignorance.}}
{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=OeuvresŒuvres|éditeur=M. Lévy|section=Melchior, II.|année=1856|année d'origine=1832|page=338}}
 
{{citation|citation=La mer est une contrée de refuges ; elle a ses immuables franchises, ses droits d'asile, ses solennels pardons. Là meurt l'empire des lois, si le faible parvient à devenir fort ; là, l'esclavage peut se rire du joug brisé et demander aux éléments protection contre les hommes.}}
{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=OeuvresŒuvres, t.11. Nouvelles de George Sand. La marquise - Lavinia - Pauline - Mattea - Metella - Melchior|éditeur=M. Lévy|section=Melchior, II.|année=1856|année d'origine=1832|page=342}}
 
=== ''Lélia'', version de 1833 ===
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{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=Lélia (version de 1833)|éditeur=Gallimard|section=VIII|année=1985|année d'origine=1833|page=24}}
 
{{citation|Le coeurcœur de l'homme est un abîme de souffrance dont la profondeur n'a jamais été sondée et ne le sera jamais.|précisions = Lettre de Lélia à Trenmor.}}
{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=Lélia (version de 1833)|éditeur=Gallimard|section=XXIX|année=1985|année d'origine=1833|page=124}}
 
=== ''Lavinia'' (nouvelle), 1833 ===
{{citation|L'amour-propre est un si étrange conseiller qu'il nous arrive cent fois par jour d'être, grâce à lui, en pleine contradiction avec nous-mêmes.}}
{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=OeuvresŒuvres, t.11. Nouvelles de George Sand. La marquise - Lavinia - Pauline - Mattea - Metella - Melchior|éditeur=M. Lévy|section=Lavinia|année=1856|année d'origine=1833|page=61-62}}
 
=== ''[[w:La Mare au diable|La Mare au diable]]'', 1846 ===
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{{réf Livre|auteur=Anne-Marie de Brem|titre=George Sand, un diable de femme|éditeur=Gallimard|collection=Découvertes|section=chapitre 2|année=1997|page=38}}
 
{{citation|''Lélia'' n'est pas le récit ingénieux d'une aventure ou le développement dramatique d'une passion. C'est la pensée du siècle sur lui-même, c'est la plainte d'une société à l'agonie qui, après avoir nié Dieu et la vérité, après avoir déserté les églises et les écoles, se prend au coeurcœur et lui dit que ses rêves sont des folies.|précisions=Gustave Planche, ''Revue des deux mondes'', 15 août 1833, à propos de ''Lélia''.}}
{{réf Livre|auteur=George Sand|titre=Lélia|éditeur=Gallimard|section=Accueil de ''Lélia'' en 1833|année=1985|année d'origine=1833|page=586}}