« Sylvain Tesson » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications |
mAucun résumé des modifications |
||
Ligne 256 :
Du temps où je m’étais passionnément intéressé à l’Empire, jusqu’à prendre mon bain coiffé d’un bicorne, j’avais trouvé cette phrase définitive.
Aujourd’hui, tordant mes chaussettes sur un banc de vase du Var, je pensais que l’Empereur avait oublié une troisième colonne : les hommes qui fuient.
« Sire ! » lui aurais-je dit si je l’avais connu,
« Fuir, c’est commander !
C’est au moins commander au destin de n’avoir aucune prise sur vous. »
|