« Hervé Guibert » : différence entre les versions

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== Citations ==
 
=== ''[[w:L'Image fantôme|L’Image fantôme]]'', [[w:1981 en littérature|1981]] ===
{{citation
|citation=L’image est l’essence du désir, et désexualiser l’image, ce serait la réduire à la théorie…}}
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}}
 
=== ''[[w: Les Aventures singulières|Les Aventures singulières]]'', [[w:1982 en littérature|1982]] ===
{{citation
|citation=A. Est-ce que je pense, en écrivant ce nom, à toi ? Donc la première lettre était une lettre d’amour.
}}
{{Réf Livre
|titre=Les Aventures singulières
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}}
 
=== ''[[w: Des aveugles|Des aveugles]]'', [[w:1985 en littérature|1985]] ===
 
{{citation
|citation=Taillegueur dit à Josette : je vais être ton miroir. AÀ quoi bon un miroir pour un aveugle ? dit un proverbe arabe.
}}
{{Réf Livre
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}}
 
=== ''[[w: Le Protocole compassionnel|Le Protocole compassionnel]]'', [[w:1991 en littérature|1991]] ===
{{citation
|citation=J’ai toujours su que je serais un grand écrivain, Jules n’y croyait pas, il se moquait de moi quand je lui disais que ces textes de jeunesse que tous les éditeurs refusaient seraient publiés un jour.
Ligne 95 ⟶ 96 :
|titre= Le Protocole compassionnel
|auteur=Hervé Guibert
|éditeur= Éditions Gallimard (folio)
|collection=Folio
|année=1991
|page=147
Ligne 107 ⟶ 109 :
|titre= Le Protocole compassionnel
|auteur=Hervé Guibert
|éditeur= Éditions Gallimard (folio)
|collection=Folio
|année=1991
|page=150
Ligne 119 ⟶ 122 :
|titre= Le Protocole compassionnel
|auteur=Hervé Guibert
|éditeur= Éditions Gallimard (folio)
|collection=Folio
|année=1991
|page=165
Ligne 125 ⟶ 129 :
}}
 
=== ''[[w: Mon valet et moi|Mon valet et moi]]'', [[w:1991 en littérature|1991]] ===
 
{{citation
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|titre= Mon valet et moi
|auteur=Hervé Guibert
|éditeur= Éditions du Seuil (points)
|collection=Points
|année=1991
|page=16
|ISBN=2-02-013302-4
}}

{{citation
|citation=J’étais déjà fou à quarante ans, j’étais déjà fou à dix ans.
}}
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|titre=Mon valet et moi
|auteur=Hervé Guibert
|éditeur= Éditions du Seuil (points)
|collection=Points
|année=1991
|page=86
Ligne 149 ⟶ 157 :
}}
 
=== ''[[w:Le Paradis (roman)|Le Paradis]]'', [[w:1992 en littérature|1992]] ===
 
{{citation
|citation=AÀ quoi bon écrire un livre si ce n’est pas un chef-d’œuvre ?
}}
{{Réf Livre
|titre=Le Paradis
|auteur=Hervé Guibert
|éditeur= Éditions Gallimard (folio)
|collection=Folio
|année=1992
|page=58
Ligne 164 ⟶ 173 :
 
{{citation
|citation=AÀ l’envoûtement de l’écriture succède un désenvoûtement, le vide. Quand je n’écris plus je me meurs.
}}
{{Réf Livre
|titre=Le Paradis
|auteur=Hervé Guibert
|éditeur= Éditions Gallimard (folio)
|collection=Folio
|année=1992
|page=127
Ligne 176 ⟶ 186 :
 
{{citation
|citation=AÀ l’envoûtement de l’écriture succède un désenvoûtement, le vide. Quand je n’écris plus je me meurs.
}}
{{Réf Livre
|titre=Le Paradis
|auteur=Hervé Guibert
|éditeur= Éditions Gallimard (folio)
|collection=Folio
|année=1992
|page=127
Ligne 188 ⟶ 199 :
 
=== Interviews ===
 
{{citation
|citation=De même que le SIDA attaque le corps, qu'il le ratatine, qu'il l'agresse …agresse… il a aussi un effet sur la conscience — forcément — un effet, dans le meilleur des cas, d'épanouissement. C'est un bond en avant. J'ai l'impression qu'il y a une progression de la conscience comme ça.
|précisions=Lors de la parution de ''À l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie''.}}
{{Réf Émission
|émission=Apostrophe
|auteur=Hervé Guibert, interviewé par Bernard Pivot
|diffuseur=Antenne 2 (aujourd'hui France 2)
|date=16 mars 1990
}}