« Père » : différence entre les versions

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chansons
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{{Autres projets|wikt=Père|w=Père}}
 
== Chansons ==
=== {{W|Si seulement je pouvais lui manquer}} (Calogero, 2004) ===
 
{{citation|citation=<poem>Est ce qu'il va me faire un signe
Manquer d'un père n'est pas un crime
J'ai qu'une prière à lui adresser
Si seulement je pouvais lui manquer</poem>}}
{{Réf Chanson
|titre=Si seulement je pouvais lui manquer
|auteur=Gioacchino Maurici, Calogero Maurici, Julie d'Aimé, Michel Jourdan
|interprète=Calogero
|album=
|date=2004
|label=Universal Music Group, Mercury Records}}
 
=== ''Riche'' (Claudio Capéo, 2016) ===
{{citation|citation=<poem>Tu seras peut-être pas le meilleur mon fils,
Mais pourtant moi, je serai fier.
À quoi ça sert d'être riche,
Quand on est riche d'être père.</poem>}}
{{Réf Chanson|titre=Riche|auteur=Sylvain Hagopian|interprète=Claudio Capéo|album=Claudio Capéo|date=2016|label=Jo & Co}}
 
== Citations==
=== [[w:Jésus-Christ|Jésus-Christ]] ===
{{citation|Je suis la voie, la vérité et la vie ; personne ne vient au Père si ce n’est par moi. Si vous m’aviez connu, vous auriez aussi connu mon Père ; mais désormais vous le connaîtrez, et vous l’avez déjà vu.}}
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{{Citation|citation=Il ceignit ses cheveux ébouriffés d'une couronne de feuilles de vigne en souriant à Vincent. Cette réponse et ces feuilles, lui dit Vincent, vous feront une parure plus convenable quand quelque chose de plus, de beaucoup plus qu'une poignée de poésies fugitives pourra se réclamer de votre génie comme d'un père. Tous ceux qui vous veulent du bien en forment le vœu. Tous désirent vous voir réaliser l'œuvre que vous méditez.}}
{{Réf Livre|titre=Ulysse|auteur=[[James Joyce]]|traducteur=Auguste Morel|éditeur=Gallimard|collection=Folio|année=1957|année d'origine=1922|page=647|ISBN=2-07-040018-2}}
 
==== [[Mary Esther Harding]], ''Les Mystères de la femme'', 1953 ====
{{citation|citation=Dans notre système patriarcal occidental, la jeune fille ''non mariée'' appartient à son père, mais en des temps plus reculés, et comme c'est encore le cas dans certaines communautés primitives, elle était sa propre maîtresse jusqu'à son mariage. Le droit de disposer de soi-même jusqu'à ce qu'on se marie fait partie du concept primitif de la liberté. Une protection générale est accordée aux jeunes filles dans les sociétés primitives, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la tribu [...]. Cette liberté d'action implique le droit de refuser les privautés aussi bien que celui de les accepter. Une fille appartient à ''elle-même'' tant qu'elle est vierge, célibataire, et l'on ne peut l'obliger ni à conserver sa chasteté ni à consentir à une étreinte non désirée. En tant que vierge elle n'appartient qu'à elle-même, elle est une.}}
{{Réf Livre|titre=Les Mystères de la femme|auteur=[[Mary Esther Harding]]|traducteur=Eveline Mahyère|éditeur=Payot & Rivages|collection=Petite Bibliothèque Payot|année=2001|année d'origine=1953|page=170|chapitre=VII. La lune mère|ISBN=2-228-89431-1}}
 
==== Gérard Pirlot/ &[[Jean-Louis Pedinielli]] ====
 
{{Citation|citation=Pour [[Jacques Lacan|Lacan]], le pervers oppose à la castration une face qui reconnaît le manque structurel de l'objet du désir, mais aussi, et simultanément, une face, relevant de l'imaginaire, qui affirme l'existence de cet objet que le sujet ne peut que vouloir. C'est l'importance accordée par le pervers au fantasme et à l'imaginaire en général, au détriment du symbolique, qui constitue la source de l'acte pervers et de la quête de jouissance, position psychique qui tient à l'échec de la structuration œdipienne. En effet, l'accès à l'Œdipe fait que le sujet renonce à l'objet primordial, renoncement qui inaugure la possibilité du désir supposant l'existence du désir de l'autre. La perversion, avatar de l'angoisse de la castration, réalise par le déni de la castration maternelle un fragile équilibre entre une reconnaissance de la différence des sexes et une jouissance, dans le défi et la transgression, qui s'affranchit du désir de la mère pour le père.}}
{{Réf Livre|titre=Les Perversions sexuelles et narcissiques|auteur=Gérard Pirlot/ & [[Jean-Louis Pedinielli]]|éditeur=Armand Colin|collection=128 Psychologie|année=2005|page=49|partie=II. Caractéristiques des perversions|chapitre=2. Critères psychopathologiques|section=2.2 Les conceptions post-freudiennes b) Structure perverse ?|ISBN=2-200-34042-7}}
 
==== Maria-Concepcion Perez, ''[[François-René de Chateaubriand|Chateaubriand]]'' — Europe n°775-776, 1993 ====
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