« Jules Guesde » : différence entre les versions

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[[Image:Jules Guesde 02.jpg|thumbnail|Jules Guesde.]]
'''Jules Bazile''' dit '''{{w|Jules Guesde}}''', né à Paris le 11 novembre 1845 et mort à Saint-Mandé (Seine) le 28 juillet 1922, est un homme politique français.
 
==L'Égalité==
 
{{Citation|Si c’est être autoritaire, en effet, que de ne pas vouloir comme certains orateurs de Montmartre “la liberté pour les capitalistes comme pour les travailleurs”, alors oui, nous sommes autoritaires.}}
{{Réf Article
|titre=Les autoritairesAutoritaires
|auteur=Jules Guesde
|publication=L’Égalité
|numéro=4
|date={{1er}} janvier 1882
|page=url
|pageurl=[http://www.marxists.org/francais/guesde/works/1882/01/autoritaires.htm www.marxists.org]
|ISSN=
|ISBN=
}}
 
{{Citation|... contre nos conclusions collectivistes ou communistes, il est plus facile de trouver des juges et des géôliersgeôliers que des arguments.}}
 
*<small>Jules Guesde, ''le Collectivisme au Collège de France'', in avertissement, ''Leçons à un professeur'' (réédition d'article de 1881-1882 de ''L'Égalité'' pour l'économiste libéral Paul Leroy-Beaulieu), à la Prison Sainte-Pélagie, le 10 août 1883, 3 brochures.</small>
 
{{Réf Livre|titre=in Jules Guesde, l'apôtre et la loi
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|année=1991
|page=47
|ISBN=2-7082-2889-97
|collection=La part des hommes
}}
 
{{Citation|Les socialistes d'aujoudaujourd'hui se sont mis à l'école des faits : ils ne prophétisent pas, ils observent et concluent. (1896)}}
{{Réf Livre|titre=in Jules Guesde, l'apôtre et la loi
|auteur=Claude Willard
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|année=1991
|page=0 (couverture)
|ISBN=2-7082-2889-97
|collection=La part des hommes
}}
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|année=1991
|page=70
|ISBN=2-7082-2889-97
|collection=La part des hommes
}}
Ligne 57 ⟶ 56 :
|année=1991
|page=70
|ISBN=2-7082-2889-97
|collection=La part des hommes
}}
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}}
{{Réf Livre|titre=En Garde !
|auteur=Jules GuesdesGuesde
|éditeur=Jules Rouff et {{Cie}}
|année=1911
|page=110
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{{Citation|la [[concurrence]] vitale en tant que concurrence intestine, entre hommes, n'est pas fatale ; qu'elle n'est pas productrice de progrès, et que le progrès dans la société humaine est en raison inverse de la concurrence vitale humaine.}}
{{Réf Livre|titre=En Garde !
|auteur=Jules GuesdesGuesde
|éditeur=Jules Rouff et {{Cie}}
|année=1911
|page=373
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}}
 
{{Citation|la [[concurrence]] vitale intestine ou intérieure ne s'impose pas à l'homme sociable ou que ce dernier puisse s'en affranchir, c'est ce que suffirait à établir la société même créée par l'hommeshomme. Qui dit société dit rapports fondés sur la communauté des intérêts. C'est la solidarité "l'aidons-nous les uns les autres" qui, se substitué à l'antagonisme, au "tue-moi ou je te tue" de l'homme a permis à l'homme devenu social de triompher dans la lutte - celle-ci nécessaire - qu'il lui a fallu soutenir contre tout ce qui n'était pas lui, contre les forces organiques et inorganiques de la nature ennemie.}}
{{Réf Livre|titre=En Garde !
|auteur=Jules GuesdesGuesde
|éditeur=Jules Rouff et {{Cie}}
|année=1911
|page=373-374
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}}
 
{{Citation|Et lorsque le [[socialisme]] entend substituer à l'antagonisme des intérêts la solidarité absolue des intérêts et supprimer la lutte pour l'existence entre les hommes pour activer la "lutte pour l'existence" de l'humanité contre les forces de la nature domptés et mise au service de tous par l'association des efforts musculaires et cérébraux de tous, loinsloin d'être hors de la science, en contradiction avec la science, le socialisme travaille à y faire rentrer la société.}}
{{Réf Livre|titre=En Garde !
|auteur=Jules GuesdesGuesde
|éditeur=Jules Rouff et {{Cie}}
|année=1911
|page=375-376