« Novalis » : différence entre les versions
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== Autres ==
{{citation|citation=Le plus grand de tous les biens, c'est la force de l'imagination.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes
|auteur=Novalis
|année=1975
|éditeur=Gallimard
|traducteur=Armel Guerne
|ISBN=2-07-028430-
|section=Cahiers d'études philosophiques (1795-1796)
|page=12
|tome=II. Les Fragments
}}
{{Choisie citation du jour
|puce=*
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|mois=novembre
|jour=13
}}
{{citation|citation=Il n'y a que ce qui demeure qui soit digne de notre pleine attention : ce qui est durablement ''utile''.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes
|auteur=Novalis
|année=1975
|éditeur=Gallimard
|traducteur=Armel Guerne
|ISBN=2-07-028430-
|section=Cahiers d'études philosophiques (1795-1796)
|page=14
|tome=II. Les Fragments
}}
{{citation|citation=Notre ''moi'' est particulier et général, individu et espèce. La forme accidentelle ou particulière de notre ''moi'' ne cesse que comme forme isolée – la mort ne met un terme qu'à ''l'égoïsme'' seulement.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes
|auteur=Novalis
|année=1975
|éditeur=Gallimard
|traducteur=Armel Guerne
|ISBN=2-07-028430-
|section=Cahiers d'études philosophiques (1795-1796)
|page=15
|tome=II. Les Fragments
}}
{{citation|citation=Le véritable acte philosophique est le meurtre de soi.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes
|auteur=Novalis
|année=1975
|éditeur=Gallimard
|traducteur=Armel Guerne
|ISBN=2-07-028430-
|section=Études philosophiques de 1797
|page=40
|tome=II. Les Fragments
}}
{{citation|citation=On doit écrire comme on compose de la musique.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes
|auteur=Novalis
|année=1975
|éditeur=Gallimard
|traducteur=Armel Guerne
|ISBN=2-07-028430-
|section=Fragments des dernières années (1799-1800)
|page=377
|tome=II. Les Fragments
}}
{{autres projets|w=Novalis|commons=Category:Novalis|s=Auteur:Novalis}}
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