« Charles de Gaulle » : différence entre les versions

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{{citation|Mon seul rival international, c’est Tintin !}}
{{Réf Livre|titre= Les Chênes qu’on abat|auteur= Malraux|éditeur= Gallimard|année= 1971|ISBN = 2‐07‐027811‐52-07-027811-5|page = 120= référence inexacte.}}
{{Choisie citation du jour |puce=* |année=2010 |mois=février |jour=1||commentaire=ainsi que pour le [[Modèle:Citation du jour/13 mars 2014|13 mars 2014]]}}
 
<br />{{citation |C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se raconte pas d'histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leur djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! |précisions=Conversation entre de Gaulle et Alain Peyrefitte le {{date |5|mars|1959}} suite aux événements d'Algérie}}
{{Réf Livre|titre=C’était de Gaulle, tome 1 |auteur=[[w:Alain Peyrefitte|Alain Peyrefitte]] |éditeur=éditions de Fallois/Fayard |année=1994 |ISBN=978‐2‐213‐02832‐3978-2-213-02832-3 |page= 52}}
 
{{citation|D'ailleurs, j'ai bluffé, mais la première armée, c'étaient des nègres et des Africains [soldats de l'[[Armée d'Afrique]]]. La division Leclerc a eu deux mille cinq cents engagés volontaires à Paris. En réalité, j'ai sauvé la face, mais la France ne suivait pas... Je ne serai pas au pouvoir... Qu'ils crèvent ! C'est le fond de mon âme que je vous livre : tout est perdu. La France est finie, j'aurai écrit la dernière page. |précisions=Conversation entre de Gaulle et Pompidou le {{date |11|juillet|1950}} sur la 1re armée française de 1944–45}}
{{Réf Livre|titre=Pour rétablir une vérité |auteur=[[:w:Georges Pompidou|Georges Pompidou]] |éditeur = Flammarion |année=1982 |page=127–128 |ISBN= 978‐2‐08‐064470‐1978-2-08-064470-1}}
 
{{citation|citation=Les États n'ont pas d'amis, ils n'ont que des intérêts.}}