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=== ''[[w:Le Marteau de Dieu (roman)|Le Marteau de Dieu]]'' (1993) ===
{{citation|citation=Les préjugés et les tabous liés à la nourriture régissent fortement le comportement humain et la logique s'avère souvent impuissante à les vaincre. Recycler des excréments dans les champs, en plein air, en les purifiant grâce aux rayons du Soleil, passe encore ; mais le faire chez soi, à l'aide de mystérieux appareils électriques, pas question. Pendant des années, les ingénieurs de Fuller argumentèrent en vain :<br />— Dieu Lui-même serait incapable de voir la différence entre deux atomes de carbone.<br />Pourtant, la plupart des gens étaient convaincus d'en être capables, eux.}}
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|auteur=Arthur C. Clarke
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|page=74
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{{citation|citation=De tous les grands félins, et peut-être de tous les mammifères, le tigre du Bengale est le plus beau.}}
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{{citation|citation=Les plus célèbres merveilles de Mars étaient tellement gigantesques qu'on ne pouvait les admirer vraiment que de l'espace.}}
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{{citation|citation=En vérité la permissivité en matière sexuelle, proche de celle de l'Hindouisme, constituait l'une des différences les plus marquantes entre le Chrislamisme et les religions dont il était issu. Il lui dut certainement une grande part de sa popularité, tant était grand le contraste avec le puritanisme islamique et la morale maladive du Christianisme qui empoisonna la vie de milliards d'hommes et aboutit à cette perversion qu'est le célibat.}}
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{{citation|citation={{personnage|Jean-Paul IV}} — […] Voici maintenant venu le temps de reconnaître une faute plus tragique encore. Le refus obstiné de l'Église d'accepter les moyens artificiels de limitation des naissances a gâché des milliards de vies et, ironie du sort, a encouragé les familles trop pauvrepauvres pour nourrir les enfants qu'on les obligeait à mettre au monde, à recourir au péché d'avortement.<br />Cette politique a conduit notre espèce au bord du gouffre. La surpopulation a épuisé les ressources de la planète Terre et pollué tout notre environnement. Dès la fin du XX{{s-|XX|e}}siècle, tout le monde avait conscience du drame, mais aucune décision ne fut prise. Certes, on réunit des conférences et on vota d'innombrables résolutions, mais rien de concret, ni d'efficace. […]}}
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|auteur=Arthur C. Clarke
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|page=115-116
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