tion{{Citation|Je ne suis pas certain qu’il faille pardonner à ceux qui meurent. Ce serait trop simple si, au soir de chaque [[vie]] humaine, on remettait les compteurs à zéro ; si la [[cruauté]] et l’[[avidité]] des uns, la [[compassion]] et l’abnégation des autres, étaient benoîtement passées par profits et pertes. Ainsi, les meurtriers et leurs victimes, les persécuteurs et les persécutés, se retrouvaient également innocents à l’heure de la mort ? Pas pour moi, en tout cas. L’impunité est, de mon point de vue, aussi perverse que éditeur=Grasset|année=2012|page=20l’[[injustice]] ; à vrai dire, ce sont les deux faces d’une même monnaie.}}