« Vœux présidentiels du 31 décembre en France » : différence entre les versions
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{{Réf Discours|nom=François Mitterrand|date= 31 décembre 1984|lieu= Paris|source= INA|précision=}}
L'an prochain, ce sera mon successeur qui vous exprimera ses voeux. Là où je serai, je l'écouterai le
{{Réf Discours|nom=François Mitterrand|date= 31 décembre 1994|lieu= Paris|source= INA|précision=}}
Pour nous faire patienter, on nous avait concocté les meilleurs moments des vœux présidentiels. [[Charles de Gaulle|De Gaulle]], dont il fut dit qui se distinguait en les souhaitant un {{1er}} janvier, sans que le titulaire de la carte de presse imagine une seule seconde que c'était tous les autres qui se trompent depuis en fêtant une bonne année, quelques heures avant l'heure .[…] On eu ensuite Pompidou, avec et sans cortisones. Giscard, avec feu de bois et [[w:Anne-Aymone Giscard d'Estaing|Anne-Aymone]] et son impayable « Je crois qu'Anne-Aymone a quelque chose à vous dire » qu'on croyait maché par [[Thierry Le Luron]]. Mitterrand avec et sans les forces de l'esprit. [[Nicolas Sarkozy|Sarkozy]] dans une bibliothèque, puissant, il a dû s'y trouver mal à l'aise. Hollande avec la promesse d'une inversion de la courbe du chômage, puis ses derniers vœux en tant que chef de l'état. […] [en évoquant les vœux de Macron] C'était soviétique à souhait, le reste fut semblable au exercice de ses prédécesseurs. Pourquoi faut il que devenu président de la république, tous se croient obligés de parler comme si ils étaient encore en campagne pour être élus ?
{{Réf Article|auteur= Michel Onfray|titre= Je vœux : Macron déguisé en père noël|publication= Michel Onfray.TV|date= 8 janvier 2018|page= url|url= https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/je-voeux?autoplay=true}}
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