« Adolphe Thiers » : différence entre les versions

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|année= 1848
|page= 1
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{{citation|On remarque souvent chez un enfant, un ouvrier, un homme d’État, quelque chose qu’on ne qualifie pas d’abord du nom d’esprit, parce que le brillant y manque, mais qu’on appelle l’intelligence, parce que celui qui en paraît doué saisit sur-le-champ ce qu’on lui dit, voit, entend à demi-mot, comprend s’il est enfant ce qu’on lui enseigne, s’il est ouvrier l’œuvre qu’on lui donne à exécuter, s’il est homme d’État les événements, leurs causes, leurs conséquences, devine les caractères, leurs penchants, la conduite qu’il faut en attendre, et n’est surpris, embarrassé de rien, quoique souvent affligé de tout.
|précisions= À propos de l'[[intelligence]].
}}
{{Réf Livre|titre= Histoire du consulat et de l'empire
|auteur= Adolphe Thiers
|éditeur= Paulin
|année= 1855
|tome= XII
|page= VIII
}}