« Zinédine Zidane » : différence entre les versions
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Philippe Bordas |
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{{citation|[Zidane] dépasse Materazzi, il se retourne et lui fait face, il le frappe de la téte, une attaque notée au maxi par les karatékas, pas une frappe de voyou mais un geste propre, comme tout ce que fait Zizou. De toute l’histoire du foot, personne n’a jamais fait ca. Dans le méme match, il égale Maradona par le haut et par le bas ! Le tir sur la barre et la main de Dieu ! La Panenka et le coup de boule ! Quoi qu’on dise, quoi qu’on pense, les fairs sont la. Il a égalé
Maradona. D’abord le geste génial, ensuite l’infraction grandiose. II a enchanté les dieux, offense les humains, ou l’inverse, je sais plus. — C’est Sophocle. — A la fin, c’est l’énorme chaos. Mais Zidane sort seul. Le lendemain, personne ne parlait de la victoire des Italiens, a part en Italie. Les journaux n’ont titré que sur Zidane,
{{réf Livre|auteur=Philippe Bordas
|titre=Chant furieux
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