« Irène Théry » : différence entre les versions
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{{citation|Pour les organicistes, parce que ces institutions doivent redevenir ce qu’elles étaient : la reconnaissance de la loi naturelle par le droit. Ce qui suppose de défendre le mariage contre le concubinage, la famille légitime contre la famille naturelle, les parents contre les beaux-parents, la sexualité procréative contre la sexualité pour le plaisir, l’adoption plénière à condition qu’elle mime la filiation biologique, et
Un modèle unique : tel était le modèle organiciste, telle est la perspective que revendiquent aujourd’hui les néoorganicistes et les identitaristes. Or, la tendance qui se dessine déjà, c’est à l’inverse celle du pluralisme. Mariage et union libre, filiation charnelle et filiation adoptive, parents unis et parents désunis, père et mère divorcés (c’est le principe de coparentalité), parents et beaux-parents. Ce pluralisme, on le voit, consiste à passer du principe d’unicité au principe de dualité.}}
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