« Jules Laforgue » : différence entre les versions
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{{citation|citation=<poem><div style="text-align: center;">
Automne, automne, adieux de l’Adieu ! La tisane bout, noyant mon feu ;
Le vent
A reverdir la bûche où mon grand cœur tisonne.
Est-il de vrais yeux ?
Nulle ne songe à m’aimer un peu.
</div></poem>}} {{Réf Livre|titre=Les Complaintes et les premiers poèmes|auteur=Jules Laforgue|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1979|page=74|année d'origine=1885|titre de la contribution=Complainte de l'automne monotone}}
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