« Germaine de Staël » : différence entre les versions

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|citation=La littérature de chaque pays découvre, à qui sait la connaître, une nouvelle sphère d'idées. C'est Charles-Quint lui-même qui a dit q’''un homme qui sait quatre langues vaut quatre hommes''. Si ce grand génie politique en jugeait ainsi pour les affaires, combien cela n'est-il pas plus vrai pour les lettres ?}}
{{Réf Livre|titre=Corinne ou l'Italie|auteur=Madame de Staël|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1985|année d'origine=1807|page=177|section=Livre VII, chapitre 1|ISBN=978-2-07-037632-2}}
 
{{citation
|citation=Quelque distingué que soit un homme, peut-être ne jouit-il jamais sans mélange de la supériorité d'une femme ; s'il l'aime, son cœur s'en inquiète ; s'il ne l'aime pas, son amour-propre s'en offense.}}
{{Réf Livre|titre=Corinne ou l'Italie|auteur=Madame de Staël|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1985|année d'origine=1807|page=192|section=Livre VII, chapitre 3|ISBN=978-2-07-037632-2}}
 
{{citation
|citation=Ah ! sans doute, c'est par l'amour que l'éternité peut être comprise ; il confond toutes les notions du temps ; il efface les idées de commencement et de fin ; on croit avoir toujours aimé l'objet qu'on aime, tant il est difficile de concevoir qu'on ait pu vivre sans lui. Plus la séparation est affreuse, moins elle paraît vraisemblable ; elle devient, comme la mort, une crainte dont on parle plus qu'on n'y croit, un avenir qui semble impossible, alors même qu'on le sait inévitable.}}
{{Réf Livre|titre=Corinne ou l'Italie|auteur=Madame de Staël|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1985|année d'origine=1807|page=215|section=Livre VIII, chapitre 2|ISBN=978-2-07-037632-2}}
 
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