« Joseph Goebbels » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Ligne 122 :
}}
 
{{citation
|citation=Aujourd'hui encore, quand l'un des vieux Gardes du Parti s'en vient et vitupère, d'homme à homme, contre tel ou tel défaut du Parti, quelle satisfaction! On sait d'emblée que cette critique est dictée par le souci du bien du Parti et que celui qui la présente ne veut nullement faire l'important, mais qu'au contraire, il n'agit ainsi que dans le seul intérêt du Parti. Le même homme qui, dans le privé, parle des défauts réels ou supposés du Parti, se mordrait plutôt la langue que de lui porter dommage par une action publique irréfléchie. Par ses années de militantisme, et ayant fourni la preuve que le cas échéant, il est prêt à se sacrifier complètement pour le Parti, il s'est bien acquis le droit de critiquer. Quel effet lamentable font en comparaison ces hâbleurs qui n'apparaissent qu'au moment du succès et se croient surtout obligés de diminuer leurs critiques les résultats obtenus par d'autres, sans eux et quelquefois contre eux. A cette époque, lorsqu'il ne s'agissait chez nous que de travailler et de combattre, de s'engager dans l'action et n'engager que soi, lorsque rien n'existait encore qu'on pût critiquer, ces hâbleurs ne fréquentaient pas les parages. Ils nous laissaient faire le gros du travail. Ce n'est que lorsque le chariot fut sorti de l'ornière qu'ils apparurent aux lisières du Parti avec leurs bons conseils, et leurs sottes critiques, empreints de platitude bourgeoise.
|original=
|langue=fr
|précisions=
}}
{{Réf Livre
|titre= Combat pour Berlin
|auteur= Joseph Goebbels
|éditeur= édition électronique
|année= 2018
|page= 42-43
|tome=
|partie=
|chapitre=
|acte=
|scène=
|section=
|ISBN= 978-0-244-73913-3
|traducteur=
|année d'origine=
|collection=
|auteur de la contribution =
|titre de la contribution =
|traducteur de la contribution =
|année de la contribution =
|section de la contribution =
|vers=
|s=
|langue=
}}