« Joseph Goebbels » : différence entre les versions

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{{citation
|citation=La critique politique s'attaque toujours aux fautes du système à critiquer. Si les fautes sont d'une nature bénigne et si l'on ne peut douter de la bonne volonté de celui qui les commet la critique s'exercera alors sous une forme loyale et policée. Mais les fautes sont-elles de nature fondamentale, menacent-elles les fondements spécifiques de l'armature de l'Etat, et a-t-on par dessus le marché lieu de soupçonner que ceux qui les commettent ne sont pas du tout de bonne volonté, mais, au contraire, font toujours passer leur intérêt personnel avant celui de l'Etat, la critique deviendra alors d'autant plus massive et plus décidée. Le radicalisme de l'agitation se trouve toujours en rapport avec la détermination que met à mal agir le système dominant. Les fautes commises sont-elles si fatales qu'elles menacent de précipiter à la fin dans l'abîme peuple et économie, voire la totalité de la culture du pays, alors l'opposition en peut plus se contenter de mettre au pilori les symptômes de l'état pathologique, et réclamer leur suppression, il lui faut passer à l'attaque contre le système lui-même. A ce stade, elle est effectivement radicale dans la mesure où elle recherche les causes profondes des fautes, et où elle s'évertue à les supprimer dans leur racines mêmes.
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{{Réf Livre
|titre= Combat pour Berlin
|auteur= Joseph Goebbels
|éditeur= édition électronique
|année= 2018
|page= 140
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