« Yasmina Khadra » : différence entre les versions
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{{Réf Livre|titre=L’Olympe des Infortunes|auteur=Yasmina Khadra|éditeur=Julliard|année=2010|page=219}}
{{citation|citation=[La ville, c’]était formidable, les gars, c’était épatant. Y a tellement de gens dans les rues qu’ils sont obligés de se marcher sur les pieds... [...] Les maisons sont si hautes que ça vous donne le tournis... [...] Un « fourroir », les gars. [...] C’est à peine si t’as une bouffée d’air pour toi. Souvent, il te faut aller la pomper sous le nez de ton prochain. Le bon [[Dieu]], en ville, il doit se sentir vachement dans ses p’tits souliers. [...] Ça ne ressemble à rien d’autre, la ville. Je ne peux pas vous faire une comparaison. La ville, c’est « comment dire... ». J’étais à deux doigts de me déboîter la mâchoire tant j’en revenais pas. Des feux partout, des [[écriture]]s qui s’allumaient sur les murs, des bagnoles comme des
{{Réf Livre|titre=L’Olympe des Infortunes|auteur=Yasmina Khadra|éditeur=Julliard|année=2010|page=220-221}}
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