« Nicolás Gómez Dávila » : différence entre les versions

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=== ''Carnets d'un vaincu'' ===
{{citation|
Rien ne peut être édifié sur la bonté de l'homme, mais rien ne peut être édifié sans elle.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=31
}}
 
{{citation|
La prospérité économique d'un individu ne démoralise pas la société tant qu'elle n'implique pas nécessairement l'ascension sociale de celui-ci.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=78
}}
 
{{citation|
N'est étranger que l'homme moyen d'un autre pays. <br />
L'homme intelligent, même si nous sommes bêtes, nous fait l'effet d'un compatriote.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=87
}}
 
{{citation|
Le libéralisme s'avère défavorable à la liberté car il ignore les restrictions que la liberté doit s'imposer afin de ne pas se détruire elle-même.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=93
}}
 
{{citation|
Avouons franchement à notre adversaire que nous ne partageons pas ses idées car nous les comprenons et que lui ne partage pas les nôtres car il ne les comprend pas.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=105
}}
 
{{citation|
Considérer comme étant égales toutes les professions n'est pas moins contraire à la réalité que l'égalitarisme individuel. <br />
La civilisation exige que les professions soient rangées socialement par ordre hiérarchique.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=108
}}
 
{{citation|
Croire que la science suffit est la plus ingénue des superstitions.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=112
}}
 
{{citation|
Le moderne appelle « changement » le fait de cheminer plus rapidement sur le même chemin et dans la même direction. <br />
Le monde, au cours des trois cents dernières années, n'a guère changé que dans ce sens. <br />
La simple proposition d'un véritable changement scandalise et atterre le moderne.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=116
}}
 
{{citation|
L'art pour l'art, la science pour la science, l'éthique pour l'éthique, la religion pour la religion. <br />
Toute attitude autre finit par falsifier.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=122
}}
 
{{citation|
Les Évangiles et le Manifeste communiste pâlissent ; le futur du monde est aux mains du coca-cola et de la pornographie.
}}
{{Réf Livre
|titre=Carnets d'un vaincu
|auteur=Nicolás Gómez Dávila
|éditeur=L'Arche
|année=2008
|traducteur=Alexandra Templier
|ISBN=978-2-85181-697-9
|page=135
}}
 
 
{{citation|citation=La sécularisation d’une société consiste en la perte du sens de la dépendance.}}