« Olivier Delacrétaz » : différence entre les versions

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{{citation
|citation=L'asile, qui est un accueil momentané sans perspective d'intégration, ne peut s'appliquer qu'à des cas particuliers et limités en nombre. Dès que ce nombre est dépassé, et même si les demandes sont fondées du point de vue de la loi, il ne faut plus parler d'asile mais d'immigration. Ce phénomène nouveau appelait une autre approche, plus quantitative et cadrée par des quotas. Nous avons refusé de l'admettre et continué de traiter les demandes au cas par cas.
|original=
|langue=fr
|précisions=A propos du [[Droit d'asile]]
}}
{{Réf Article
|titre=''La décision de M. Mermoud''
|auteur=Olivier Delacrétaz
|publication={{w|La Nation (journal vaudois)|La Nation}}
|numéro=
|date=7 janvier 2005
|page=1
|ISSN=
|ISBN=
}}
 
{{citation
|citation=Le 10 décembre 1948, l'Assemblée générale des Nations Unies faisait de l'asile le quatorzième droit de l'homme. Souscrivant à la Déclaration des Droits de l'homme, la Confédération renonçait du même coup à sa souveraineté pleine et entière dans le domaine de l'asile et ouvrait ses portes non plus à celui-ci ou celui-là, mais à tous ceux qui, de par le monde, rempliraient les conditions fixées par la loi. Elle s'efforça, au début avec un certain succès, de réduire les effets de sa générosité abstraite par des procédures d'application vétilleuses. La croissance exponentielle des demandes allait rendre ces mesures inopérantes.
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|langue=fr