« Henri Wallon » : différence entre les versions

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S.L.
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|partie= III - L'activité professionnelle
|chapitre= 2 _ Sélection et orientation professionnelle
|ISBN=
}}
 
 
== ''Les origines du caractère chez l'enfant'', 1934 ==
 
=== [[Syncrétisme (psychologie)|syncrétisme]] et émotion ===
 
{{citation|Cette absence de partie distinctes dans l'ensemble est l'état qui est dénommé ''syncrétisme''.}}
{{Réf Livre|titre= Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1989
|année d'origine = 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=96
|partie=I_Le comportement émotionelle
|chapitre=IV_Les émotions dans le comportement humain
|ISBN=
}}
 
{{citation|La perception peut-être syncrétique comme la pensée. Il s'agit dans les deux cas, d'un stadeprimitif où vont de pair défait d'éléments décomposables entre eux et subjectivité, défaut d'images ou de circonstances qui puissent être confrontées et affecrivité. }}
{{Réf Livre|titre= Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1989
|année d'origine = 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=96
|partie=I_Le comportement émotionelle
|chapitre=IV_Les émotions dans le comportement humain
|ISBN=
}}
 
{{citation|La sensibilité de l'émotion est essentiellement syncrétique. Il en résulte qu'elle agglutine, de manière en quelque sorte indissolible, tout ce qui a pu participer d'elle, et qu'ainsi la circonstance la plus fortuite qui s'est trouvée introduite par les événements dans une émotion devient apte à la reprsenter ou plutôt à provoquer le retour de ses effets.}}
{{Réf Livre|titre= Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1989
|année d'origine = 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=96
|partie=I_Le comportement émotionelle
|chapitre=IV_Les émotions dans le comportement humain
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}}
 
 
=== Peur et posture ===
 
{{citation|Sous son aspect le plus massif et le plus brut, la peur répond aux situations catastrophiques qui dépassent tellement nos moyens moteurs ou conceptuels que toutes sorte de contenance est devenur impossible, exactement comme tout effort d'équilibre est interdit à celui qui n'a plus de point d'appui. Le désarroi, alors, a quelque chose d'absolu, il confine au vertige; la peur tend à l'abolition de toute activité, à la défaillance totale du tonus, à l'ictus.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=140
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (5_ incertitudes posturales et peur)
|ISBN=
}}
 
{{citation|La peur peut traduire aussi le conflit entre deux attitudes inconciliables et l'état d'incertitude ou de suspension pénible qui en résulte. Dans ce cas, elle suppose une accoutumance, une préadaptation que l'événement déconcerte. Tantôt le sujet est surpris à l'improviste dans ses habitudes et tantôt il est trompé dans son attente. Il peut donc ou totalement ignorer le risque possible ou le prévoir et le redouter, parfois même le considérer comme beaucoup plus probable que l'évrntulaité contraire. A mesure que la peur se déplace de la surprise causé par l'événement imprévu vers la crainte de l'accident redouté, elle est moins frayeu que phobie, et les effets hypertoniques de l'angoisse remplacent les états d'hypotonie ou de catalepsie qui répondent aux cas d'épouvante et de terreur.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=140
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (5_ incertitudes posturales et peur)
|ISBN=
}}
 
=== Tristesse et dédoublement intime ===
 
{{citation|A mesure qu'un émotion s'humanise d'avantage, elle tend donc à devenir spectaculaire; et plus celui qui la ressent est cultivé plus le spectacle, d'extériorisé, tend à devenir intime.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=142
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Certaines émotions ne commencent même d'exister, avec leur nuance spécfique, qu'à partir du moment où le sujet qui les éprouve devient capable d'y assister par une sorte de dédoublement intime, et n'a plus besoin d'en donner le spectable à autru pour en réaliser lui-même tout le pathétique. Telle est la tristesse.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=142
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Différents auteurs font aller de pair la tristesse avec la joie, comme s'il y avait un exact parallélisme entre elles. Leurs origines cependant appartiennent à ces plans différents de la vie psychique; Alors que la joie naït avec le libre épanouissement du mouvement, la tristesse es t d'appartion relativement tardive chez l'enfant : [...] elle est enfant la plus évoluée, la plus socialisée.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=142
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
{{citation|La douleur peut rester individuelle. Il n'y a pas de tristesse sans compassion sur soi-même, c'est-à-dire sans un point de vue sur soi-même, qui est celui des autres.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=143
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Dans la tritesse, l'individu se connaït nécessairement comme impliquant en lui l'existence des autres. Elle annonce ou suppose déjà les diverses alternatives à travers lesquelles l'enfant apprend à délimiter sa notion d'autrui et celle de sa propre personne.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=143
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
=== Tonus et émotion ===
 
{{citation|Et c'est grâce à cette accommodation simultanément motrice et mentale, grâce à cette plasticité indivisible qu'avec l'émotion a pu débuter la conscience.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=145-146
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus
|ISBN=
}}
 
{{citation|Le rôle qu'elle joue dans la vie psychique, l'émotion le doit au domaine particulier de sensibilité et de mouvement d'où elle est issue, le domaine de la sensibilité et des réactions posturales. C'est celui des attitudes, c'est-à-dire d'une activité musculaire qui est en rapport avec le corps lui-même qu'avec des objets extérieurs.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=145-146
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus
|ISBN=
}}
 
{{citation|Cette fonction [tonique] s'exerçant sur tous les muscles du corps règle à tout instant ses différentes attitudes. C'est aussi aux variations locales ou généralisées du tonus que sont dus les états d'hypotonie, d'hypertonie ou de spasme d'où procèdent les émotions. Car aux modifications du tonus et des attitudes sont liées des modifications de la sensibilité affective. Entre les deux il y a réciprocité d'action immédiate. Ainsi se spécifient et s'intensifient les émotions.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=145-146
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus
|ISBN=
}}
 
{{citation|Essentiellement fonction d'expression, fonction plastique, les émotions sont une formation d'origine posturale et elles ont pour étoffe les tonus musculaires.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=175
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|[La] diversité [des émotions] est liée à l'hyper ou à l'hypotension du tonus, à son libre écoulement en gestes et en actions ou à son accumulation sans issue et à son utilisation sur place des spasmes.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=175
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|À l'autre extrémité, les émotions touchent aux représentations, qui peuvent servir à définir leurs motifs ou leur objet.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=176
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Les émotifs et les sentimentaux sont deux sortes d'individus à tempérament nettement distinct. Le sentimental est de ceux qui sont le plus à l'abri de l'orage émotif, parce qu'il est avant tout un idéatif dont l'iéation liquide à tout instant la tension émotive.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=176
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
 
{{citation|La représentation peut être aussi celle d'un but ou d'un objectif qui s'impose à l'affectivité et qui règne sur elle. Elle éteint l'émotion dans la mesure où elle la transforme en passion. Le passionné est habituellement très maître de ses réactions affectives. Sur les impulsions émotives il donne le pas au raisonnement. Il sait habituellement utiliser avec ténacité les circonstances. Son activité s'exerce dans le plan des réalités et les fait servir, souvent avec sagacité, à ses fins. Mais ses fins sont en dehors de la réalité du moins actuelle ; elles tendent à y substituer quelque chose qui n'est encore qu'en représentation.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=176
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|La différence du passionné avec le sentimental, c'est son besoin de faire passer ses représentations dans les faits, au lieu de se borner à en éprouver la nuance affective. La différence est plus grande encore avec l'émotif, qui est dominé par son ambiance, qui ne sait pas y échapper, mais dont les réactions sont d'ordre purement subjectif et tendent à noyer la notion des réalités extérieurs sous le flux des sensibilités organiques.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=177
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Habituellement contenue dans ses manifestations immédiates, l'affectivité du passionné atteint à un degré de haute tension ; il peut en résulter, par accident, de brusque bourrasques émotives ; mais elle a pour résultat essentiel d'exalter les appétits du sujet.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=177
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|... les motifs d'une conduite passionnée, quel qu'en soit le but, altruiste ou personnel, obéissent à une logique toute subjective et qui contraste singulièrement avec la logique instrumentale, dont la rigueur objective peut être grande. C'est ainsi que, par les déviations qu'elles font subir à l'emploi du tonus affectif, l'activité de représentation et l'idéation donnent lieu à des manifestations ultra-passionnelles.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=177
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Dans tout transport émotif, le sujet extravase en quelque sorte sa sensibilité. Ses réactions émotives établissent entre lui et autrui une sorte de résonance et de participation affectives. C'est là un trait tellement essentiel à la nature de l'émotion que, s'il s'efface, elle se transforme aussi. Ainsi des cas où les attitudes et la sensibilité corporelle deviennent pour elle-même un objet d'attention et de culture, qui concentre le sujet sur lui-même et le ferme aux stimulations affectives de l'ambiance.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=178
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Malgré l'intensité de leurs démonstrations passionnelles, les hystériques ne sont-ils pas, en effet des anémotifs ? }}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=178
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
=== La jalousie ===
 
{{citation| Se cantonnant dans son attitude de spectateur, le jaloux authentique se nourrit de spectacles mortifiants avec âpre avidité. }}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=259
|partie= III_ La conscience de soi
|chapitre= III_ Syncrétisme différencié I_ La Jalousie
|ISBN=
}}
 
{{citation| « La cruauté n'est qu'une sympathie souffrante », a dit Stendhal dans 'L'Amour' ».
Si le SADISME est une poursuite de la souffrance en autrui, c'est pourtant une souffrance ressentie jusqu'au plaisir et jusqu'à la souffrance par celui qui l'impose. Il n'est jouissance que par suite de cette confusion entre soi et autrui qui fait le fond de la jalousie.
De passif, le spectateur alors devient actif sans cesser d'être spectateur. Il contemple dans l'objet ce qu'il y produit lui-même et il exaspère sa propre sensibilité à travers les souffrances dont il est l'auteur sur autrui.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=260
|partie= III_ La conscience de soi
|chapitre= III_ Syncrétisme différencié I_ La Jalousie
|ISBN=
}}
 
{{citation| Dans la Jalousie pure, c'est le MASOCHISME qui l'emporte. Pour quelques Othello combien de « Cocus magnifiques » confidentiels !
Contemplateurs avides de tout ce qui semble leur démontrer que d'autres s'approprient l'être où ils ont mis, avec leurs jouissances, leur être le plus intime, ils ne cherchent, par leurs soupçons, leurs surveillances, leurs visions hypothétiques ou réelles, qu'à stimuler leur anxiété et souvent par leur anxiété leur plaisir sexuel.
Ainsi s'expliquent bien des ménages à trois.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=260
|partie= III_ La conscience de soi
|chapitre= III_ Syncrétisme différencié I_ La Jalousie
|ISBN=
}}
 
{{citation| Sous ses complications variées, la jalousie est essentiellement un retour vers le stade où celui qui participe à une situation affective en ressent les attitudes complémentaires. Sans savoir encore suffisamment isoler celle qui lui est propre, il se laisse dominer intérieurement par celle qui le dépouille, et en éprouve une anxiété dont il se fait souvent plus ou moins le complice.
 
C'est le sentiment d'une rivalité chez celui qui s'est réagir qu'en spectateur possédé par l'action du rival.
 
C'est une sympathie souffrante et passive. }}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=260
|partie= III_ La conscience de soi
|chapitre= III_ Syncrétisme différencié I_ La Jalousie
|ISBN=
}}
Ligne 666 ⟶ 1 013 :
|partie= Introduction
|chapitre= Les théories de la connaissance (p XI-XIV)
|ISBN=
}}
 
== ''Les origines du caractère chez l'enfant'', 1949 ==
 
=== Peur et posture ===
 
{{citation|Sous son aspect le plus massif et le plus brut, la peur répond aux situations catastrophiques qui dépassent tellement nos moyens moteurs ou conceptuels que toutes sorte de contenance est devenur impossible, exactement comme tout effort d'équilibre est interdit à celui qui n'a plus de point d'appui. Le désarroi, alors, a quelque chose d'absolu, il confine au vertige; la peur tend à l'abolition de toute activité, à la défaillance totale du tonus, à l'ictus.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=140
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (5_ incertitudes posturales et peur)
|ISBN=
}}
 
{{citation|La peur peut traduire aussi le conflit entre deux attitudes inconciliables et l'état d'incertitude ou de suspension pénible qui en résulte. Dans ce cas, elle suppose une accoutumance, une préadaptation que l'événement déconcerte. Tantôt le sujet est surpris à l'improviste dans ses habitudes et tantôt il est trompé dans son attente. Il peut donc ou totalement ignorer le risque possible ou le prévoir et le redouter, parfois même le considérer comme beaucoup plus probable que l'évrntulaité contraire. A mesure que la peur se déplace de la surprise causé par l'événement imprévu vers la crainte de l'accident redouté, elle est moins frayeu que phobie, et les effets hypertoniques de l'angoisse remplacent les états d'hypotonie ou de catalepsie qui répondent aux cas d'épouvante et de terreur.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=140
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (5_ incertitudes posturales et peur)
|ISBN=
}}
 
=== Tristesse et dédoublement intime ===
 
{{citation|A mesure qu'un émotion s'humanise d'avantage, elle tend donc à devenir spectaculaire; et plus celui qui la ressent est cultivé plus le spectacle, d'extériorisé, tend à devenir intime.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=142
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Certaines émotions ne commencent même d'exister, avec leur nuance spécfique, qu'à partir du moment où le sujet qui les éprouve devient capable d'y assister par une sorte de dédoublement intime, et n'a plus besoin d'en donner le spectable à autru pour en réaliser lui-même tout le pathétique. Telle est la tristesse.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=142
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Différents auteurs font aller de pair la tristesse avec la joie, comme s'il y avait un exact parallélisme entre elles. Leurs origines cependant appartiennent à ces plans différents de la vie psychique; Alors que la joie naït avec le libre épanouissement du mouvement, la tristesse es t d'appartion relativement tardive chez l'enfant : [...] elle est enfant la plus évoluée, la plus socialisée.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=142
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
{{citation|La douleur peut rester individuelle. Il n'y a pas de tristesse sans compassion sur soi-même, c'est-à-dire sans un point de vue sur soi-même, qui est celui des autres.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=143
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Dans la tritesse, l'individu se connaït nécessairement comme impliquant en lui l'existence des autres. Elle annonce ou suppose déjà les diverses alternatives à travers lesquelles l'enfant apprend à délimiter sa notion d'autrui et celle de sa propre personne.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=143
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VII_ Stimulations organique (6_ Emotions à dédoublement spectaculaire)
|ISBN=
}}
 
=== Tonus et émotion ===
 
{{citation|Et c'est grâce à cette accommodation simultanément motrice et mentale, grâce à cette plasticité indivisible qu'avec l'émotion a pu débuter la conscience.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=145-146
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus
|ISBN=
}}
 
{{citation|Le rôle qu'elle joue dans la vie psychique, l'émotion le doit au domaine particulier de sensibilité et de mouvement d'où elle est issue, le domaine de la sensibilité et des réactions posturales. C'est celui des attitudes, c'est-à-dire d'une activité musculaire qui est en rapport avec le corps lui-même qu'avec des objets extérieurs.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=145-146
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus
|ISBN=
}}
 
{{citation|Cette fonction [tonique] s'exerçant sur tous les muscles du corps règle à tout instant ses différentes attitudes. C'est aussi aux variations locales ou généralisées du tonus que sont dus les états d'hypotonie, d'hypertonie ou de spasme d'où procèdent les émotions. Car aux modifications du tonus et des attitudes sont liées des modifications de la sensibilité affective. Entre les deux il y a réciprocité d'action immédiate. Ainsi se spécifient et s'intensifient les émotions.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=145-146
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus
|ISBN=
}}
 
{{citation|Essentiellement fonction d'expression, fonction plastique, les émotions sont une formation d'origine posturale et elles ont pour étoffe les tonus musculaires.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=175
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|[La] diversité [des émotions] est liée à l'hyper ou à l'hypotension du tonus, à son libre écoulement en gestes et en actions ou à son accumulation sans issue et à son utilisation sur place des spasmes.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=175
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|À l'autre extrémité, les émotions touchent aux représentations, qui peuvent servir à définir leurs motifs ou leur objet.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=176
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Les émotifs et les sentimentaux sont deux sortes d'individus à tempérament nettement distinct. Le sentimental est de ceux qui sont le plus à l'abri de l'orage émotif, parce qu'il est avant tout un idéatif dont l'iéation liquide à tout instant la tension émotive.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=176
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
 
{{citation|La représentation peut être aussi celle d'un but ou d'un objectif qui s'impose à l'affectivité et qui règne sur elle. Elle éteint l'émotion dans la mesure où elle la transforme en passion. Le passionné est habituellement très maître de ses réactions affectives. Sur les impulsions émotives il donne le pas au raisonnement. Il sait habituellement utiliser avec ténacité les circonstances. Son activité s'exerce dans le plan des réalités et les fait servir, souvent avec sagacité, à ses fins. Mais ses fins sont en dehors de la réalité du moins actuelle ; elles tendent à y substituer quelque chose qui n'est encore qu'en représentation.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=176
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|La différence du passionné avec le sentimental, c'est son besoin de faire passer ses représentations dans les faits, au lieu de se borner à en éprouver la nuance affective. La différence est plus grande encore avec l'émotif, qui est dominé par son ambiance, qui ne sait pas y échapper, mais dont les réactions sont d'ordre purement subjectif et tendent à noyer la notion des réalités extérieurs sous le flux des sensibilités organiques.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=177
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Habituellement contenue dans ses manifestations immédiates, l'affectivité du passionné atteint à un degré de haute tension ; il peut en résulter, par accident, de brusque bourrasques émotives ; mais elle a pour résultat essentiel d'exalter les appétits du sujet.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=177
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|... les motifs d'une conduite passionnée, quel qu'en soit le but, altruiste ou personnel, obéissent à une logique toute subjective et qui contraste singulièrement avec la logique instrumentale, dont la rigueur objective peut être grande. C'est ainsi que, par les déviations qu'elles font subir à l'emploi du tonus affectif, l'activité de représentation et l'idéation donnent lieu à des manifestations ultra-passionnelles.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=177
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Dans tout transport émotif, le sujet extravase en quelque sorte sa sensibilité. Ses réactions émotives établissent entre lui et autrui une sorte de résonance et de participation affectives. C'est là un trait tellement essentiel à la nature de l'émotion que, s'il s'efface, elle se transforme aussi. Ainsi des cas où les attitudes et la sensibilité corporelle deviennent pour elle-même un objet d'attention et de culture, qui concentre le sujet sur lui-même et le ferme aux stimulations affectives de l'ambiance.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=178
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
{{citation|Malgré l'intensité de leurs démonstrations passionnelles, les hystériques ne sont-ils pas, en effet des anémotifs ? }}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=178
|partie= I_ Le comportement émotionnel
|chapitre= VIII_ Psychisme et tonus (5_ la place des émotions parmi les comportements affectifs)
|ISBN=
}}
 
=== La jalousie ===
 
{{citation| Se cantonnant dans son attitude de spectateur, le jaloux authentique se nourrit de spectacles mortifiants avec âpre avidité. }}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=259
|partie= III_ La conscience de soi
|chapitre= III_ Syncrétisme différencié I_ La Jalousie
|ISBN=
}}
 
{{citation| « La cruauté n'est qu'une sympathie souffrante », a dit Stendhal dans 'L'Amour' ».
Si le SADISME est une poursuite de la souffrance en autrui, c'est pourtant une souffrance ressentie jusqu'au plaisir et jusqu'à la souffrance par celui qui l'impose. Il n'est jouissance que par suite de cette confusion entre soi et autrui qui fait le fond de la jalousie.
De passif, le spectateur alors devient actif sans cesser d'être spectateur. Il contemple dans l'objet ce qu'il y produit lui-même et il exaspère sa propre sensibilité à travers les souffrances dont il est l'auteur sur autrui.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=260
|partie= III_ La conscience de soi
|chapitre= III_ Syncrétisme différencié I_ La Jalousie
|ISBN=
}}
 
{{citation| Dans la Jalousie pure, c'est le MASOCHISME qui l'emporte. Pour quelques Othello combien de « Cocus magnifiques » confidentiels !
Contemplateurs avides de tout ce qui semble leur démontrer que d'autres s'approprient l'être où ils ont mis, avec leurs jouissances, leur être le plus intime, ils ne cherchent, par leurs soupçons, leurs surveillances, leurs visions hypothétiques ou réelles, qu'à stimuler leur anxiété et souvent par leur anxiété leur plaisir sexuel.
Ainsi s'expliquent bien des ménages à trois.}}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=260
|partie= III_ La conscience de soi
|chapitre= III_ Syncrétisme différencié I_ La Jalousie
|ISBN=
}}
 
{{citation| Sous ses complications variées, la jalousie est essentiellement un retour vers le stade où celui qui participe à une situation affective en ressent les attitudes complémentaires. Sans savoir encore suffisamment isoler celle qui lui est propre, il se laisse dominer intérieurement par celle qui le dépouille, et en éprouve une anxiété dont il se fait souvent plus ou moins le complice.
 
C'est le sentiment d'une rivalité chez celui qui s'est réagir qu'en spectateur possédé par l'action du rival.
 
C'est une sympathie souffrante et passive. }}
{{Réf Livre|titre=Les origines du caractère chez l'enfant
|auteur=Henri Wallon
|éditeur= PUF
|année=1987
|année d'origine= 1949
|page=260
|partie= III_ La conscience de soi
|chapitre= III_ Syncrétisme différencié I_ La Jalousie
|ISBN=
}}
Ligne 983 ⟶ 1 023 :
|éditeur= PUF
|année=1989
|année d'origine = 1949 1945
|page=269
|partie= Les confusions syncrétiques
Ligne 995 ⟶ 1 035 :
|éditeur= PUF
|année=1989
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=269
|partie= Les confusions syncrétiques
Ligne 1 007 ⟶ 1 047 :
|éditeur= PUF
|année=1989
|année d'origine= 1934 (Boivin), 1949 (PUF)
|page=269
|partie= Les confusions syncrétiques