« Élisée Reclus » : différence entre les versions

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{{citation|
Les Arabes du Guadalquivir ont été les maîtres et les éducateurs de l'Europe en astronomie, en mathématique, en mécanique, en médecine, en philosophie : l'ingratitude et la mauvaise foi ont seuls pu leur contester ce mérite.[...] Le génie inventif des musulmans d'Espagne se réveillera peut-être un jour chez leurs descendants : c'est assez de plusieurs siècles de sommeil !
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|auteur=[[:w:Élisée Reclus|Élisée Reclus]]
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{{citation|Celui qui commande se déprave, celui qui obéit se rapetisse. Des deux côtés. comme tyran ou comme esclave, comme préposé ou comme subordonné, l'homme s'amoindrit. La morale qui naît de la conception actuelle de l'État, de la hiérarchie sociale, est forcément corrompue.}}
{{Réf Livre
|titre=Correspondance
|éditeur=Alfred Costes
|année=18 juillet 1892
|tome=3
|page=122
|auteur=[[:w:Élisée Reclus|Élisée Reclus]]
}}
 
» 18 juillet 1892, ''Correspondance''<ref>Élisée Reclus, Correspondance, Tome 3, septembre 1889 - juillet 1905, [https://books.google.be/books?id=NdnX-AK4AmwC&pg=PA122&lpg=PA122&dq=%22Celui+qui+commande+se+d%C3%A9prave%22&source=bl&ots=qKqQOLtAVQ&sig=py6TKuGJUDowNZ04M_TsH7iFBJA&hl=fr&sa=X&ei=L2ZOU-2XFuvJ0AXkhIDgCQ&ved=0CEIQ6AEwBQ#v=onepage&q=%22Celui%20qui%20commande%20se%20d%C3%A9prave%22&f=false texte intégral].</ref>
 
== Citations rapportées ==