« Développement durable » : différence entre les versions
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{{Citation|Plus l'économie mondiale mettra de temps à réduire son empreinte écologique et à s'orienter vers la durabilité, moins la planète pourra tolérer d'individus et plus le niveau matériel de ces derniers sera bas. À partir d'un certain point, retard signifie effondrement. [...] Retarder la réduction des flux et la transition vers la durabilité signifie au mieux priver les générations futures de certaines options et au pire précipiter l'effondrement.}}
{{Réf Livre
|titre = [[Les Limites à la croissance|Les Limites à la croissance (dans un monde fini)]]
|auteur = Donella Meadows, Dennis Meadows et Jorgen Randers
|éditeur = Rue de l'échiquier
|année = 2017
|page = 404-405
|ISBN = 9782374250748
|traducteur = Agnès El Kaïm
|année d'origine = 2004
|collection = L'écopoche
|langue = fr
}}
{{Citation|L'individualisme et le manque de prévoyance sont selon nous les deux principaux maux du système social actuel et les deux principaux responsables de notre non-durabilité.}}
{{Réf Livre
|titre = [[Les Limites à la croissance|Les Limites à la croissance (dans un monde fini)]]
|auteur = Donella Meadows, Dennis Meadows et Jorgen Randers
|éditeur = Rue de l'échiquier
|année = 2017
|page = 446
|ISBN = 9782374250748
|traducteur = Agnès El Kaïm
|année d'origine = 2004
|collection = L'écopoche
|langue = fr
}}
{{Citation|citation = Avant tout, j'aimerais pousser le thème du « développement viable ». Je préfère ce terme à celui de « durable », car « viable » implique pour moi davantage l'idée de survie dans la durée. Ce sujet dépasse les problématiques uniquement environnementales. Il me plaît car il permet de penser aux générations à venir.
|précisions = Citation de [[Nouria Hernandez]], rectrice de l’Université de Lausanne.}}
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