« Octave Mirbeau » : différence entre les versions

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|année d'origine=1901
|page=231
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== ''[[w:La Grève des électeurs|La Grève des électeurs]]'', [[w:1902 en littérature|1902]] ==
 
{{Citation|Une chose m’étonne prodigieusement — j’oserai dire qu’elle me stupéfie, c’est qu’à l’heure scientifique où j’écris, après les innombrables expériences, après les scandales journaliers, il puisse exister encore dans notre chère France (comme ils disent à la Commission du budget) un électeur, un seul électeur, cet animal irrationnel, inorganique, hallucinant, qui consente à se déranger de ses affaires, de ses rêves ou de ses plaisirs, pour voter en faveur de quelqu’un ou de quelque chose.}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
|titre=La Grève des électeurs
|éditeur= Au bureau des « Temps nouveaux »
|année=1902
|page=3
|s=La Grève des électeurs
}}
 
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{{Citation|L'anarchie est la reconquête de l'individu, c'est la liberté du développement de l'individu, dans un sens normamnormal et harmonique. On peut la définir d'un mot : l'utilisation spontanée de toutes les énergies humaines, criminellement gaspillées par l'État.
|précisions=[http://www.scribd.com/doc/11724030/Octave-Mirbeau-Preface-de-La-Societe-mourante-et-lanarchie-de-Jean-Grave Préface de ''La Société mourante et l'anarchie''], de [[Jean Grave]], 1893}}
{{réf Livre|auteur=Octave Mirbeau
|titre=Combats politiques