« Mort » : différence entre les versions

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{{citation|citation=— Le jour où disparaîtront d'un seul coup tes amis! où d'un seul coup disparaîtra la terre et ce qu'elle porte, hormis toi ! quand tu seras seul on te croira mort ; c'est on qui le sera. L'univers meurt chaque fois que meurt un homme, et il y a beaucoup d'hommes parmi les hommes.}}
{{Réf Livre|titre=La liberté ou l'amour ! suivi de Deuil pour deuil|auteur=[[Robert Desnos]]|éditeur=Gallimard|Collection=L'Imaginaire|année=1962|année d'origine=1924|page=125|ISBN=978-2-07-027695-0}}
 
 
{{citation|citation=l’explorateur casqué de blanc s’apprête à mourir et rassemble ses souvenirs pour savoir comment doit mourir un explorateur : si c’est les bras en croix ou face dans le sable, s’il doit creuser une tombe fugitive en raison du vent et des hyènes, ou se recroqueviller dans la position dite en chien de fusil
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Et cette absence, à peine un cœur la remarqua.</poem> }}
{{Réf Livre|titre=Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1|auteur=[[Théophile Gautier]]|éditeur=Lemerre|année=1890|page=77|année d'origine=1832|titre de la contribution=Une âme}}
 
 
==== [[Jean-Christophe Grangé]] ====
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|page=238
}}
 
 
==== [[Benoîte Groult]] ====
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{{citation|Venez, sommeil et mort ; vous ne promettez rien, vous tenez tout.}}
{{Réf Livre|titre=Søren Kierkegaard. Œuvres complètes|auteur=[[Søren Kierkegaard]]|éditeur=Robert Laffont|collection=Bouquins|traducteur=Paul-Henri Tisseau |année=1993|année d'origine=1843|ISBN=2-221-07373-8|page=37}}
 
 
==== [[Comte de Lautréamont]] ====
{{citation|citation=Le charme de la mort n'existe que pour les courageux..}}
{{Réf Article|titre=Poésies|auteur=[[Comte de Lautréamont]]|publication=Littérature|numéro=3|date=Mai 1919|page=9}}
 
 
==== [[Annie Le Brun]] ====
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}}
{{Réf Article|titre=Dolman le maléfique|auteur=[[Joyce Mansour]]|publication=La Brèche|numéro=1|date=Octobre 1961|page=50}}
 
 
==== [[Anaïs Nin]] ====
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Je sentis que je me noyais. Et Lorsque je fus sur le point de mourir, déjà violacé, elle me déposa doucement sur le bord, et se mit à me baiser, me disant je ne sais quoi. Je me sentais faible, moulu et humilié. En même temps, la volupté me faisait fermer les yeux. Sa voix était suave et me parlait de la mort délicieuse des noyés. Quand je revins à moi, je commençai à la craindre et la haïr.}}
{{Réf Livre|titre=Liberté sur parole|auteur=[[Octavio Paz]]|traducteur=Jean-Clarence Lambert|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1966|année d'origine=1958|page=76|partie=II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950)|section=Sables mouvants — ''Ma vie avec la vague''|ISBN=2-07-031789-7}}
 
 
==== [[Edgar Allan Poe]] ====
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{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2008|mois=mars|jour=31}}
{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2011|mois=septembre|jour=20}}
 
 
==== [[Lee Siegel]] ====
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{{Réf Livre
|titre=Éducation européenne
|auteur=[[Romain Gary]]
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
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{{Citation |Je vais y sculpter un bébé mort-né. Si, si ! C’est le meilleur exemple de fusion, de raccourci entre l’agonie et la naissance. Résume toute la condition de l’homme : entre la naissance et la mort, n’est qu’un couloir. Comme celui de mon appartement. Court. Très court… }}
 
{{Réf Livre|titre=La déferlante |auteur= [[Anne Calife]]|éditeur=Balland,2003, réédition Menthol House|année=2003|page=61|ISBN=2-7158-1436-4}}
 
==== [[Anne Calife]], ''Paul et le Chat'', 2004 ====
{{Citation|Quelque chose allait nous tomber dessus. Quelque part entre les branches noires de l’hiver, la mort nous fixait. Le Printemps allait pouvoir commencer.}}
 
{{Réf Livre|titre=Paul et le Chat |auteur= [[Anne Calife]]|éditeur=Mercure de France, réédition Menthol House|année=2004|page=20|ISBN=978-2-9599680-2-0}}
 
{{Citation| La mort n'est rien d'autre que le passage à l’horizontale ; rien d’autre que des choses horizontales, toujours horizontales. Moi, je voudrais n’être ni verticale, ni horizontale, j’aimerais juste être oblique. |}}
 
{{Réf Livre|titre=Paul et le Chat |auteur= [[Anne Calife]]|éditeur=Mercure de France, réédition Menthol House|année=2004|page=23|ISBN=978-2-9599680-2-0}}
 
==== [[Amin Maalouf]], ''Origines'', 2004 ====
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|page=38}}
 
==== [[Yasmina Khadra]] ====
 
===== ''L’Attentat'', 2005 =====
{{citation|citation=Ça ne sert à rien de rester ici. Les morts sont morts et finis, quelque part ils ont purgé leurs peines. Quant aux vivants, ce ne sont que des fantômes en avance sur leur heure.}}
{{Réf Livre|auteur=[[Yasmina Khadra]]|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=11}}
 
{{citation|citation=Je ne comprendrai jamais pourquoi les survivants d’un drame se sentent obligés de faire croire qu’ils sont plus à plaindre que ceux qui y ont laissé leur peau.}}
{{Réf Livre|auteur=[[Yasmina Khadra]]|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=84}}
 
{{citation|citation=Quand les [[rêve]]s sont éconduits, la mort devient l’ultime salut...}}
{{Réf Livre|auteur=[[Yasmina Khadra]]|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=213}}
 
===== ''Ce que le jour doit à la nuit'', 2008 =====
{{citation|citation=Le fait de se réveiller le matin relevait du [[miracle]], et la [[nuit]], lorsqu’on s’apprêtait à dormir, on se demandait s’il n’était pas raisonnable de fermer les yeux pour de bon, convaincus d’avoir fait le tour des choses et qu’elles ne valaient pas la peine que l’on s’attardât dessus. Les [[jour]]s se ressemblaient désespérément ; ils n’apportaient jamais rien, ne faisaient, en partant, que nous déposséder de nos rares illusions qui pendouillaient au bout de notre nez, semblables aux carottes qui font avancer les baudets.}}
{{Réf Livre|auteur=[[Yasmina Khadra]]|titre=Ce que le jour doit à la nuit|éditeur=Pocket|année=2008|page=12}}
 
===== ''L’Olympe des Infortunes'', 2010 =====
{{citation|citation=[U]n homme est capable '''d’aller au-delà de la mort''' et de revenir.}}
{{Réf Livre|titre=L’Olympe des Infortunes|auteur=[[Yasmina Khadra]]|éditeur=Julliard|année=2010|page=227}}
 
===== ''L’équation africaine'', 2011 =====
{{citation|citation=Lorsque la mort tente de vampiriser jusqu’au dernier recoin de l’esprit, la vie se doit de réagir. Il y va de sa crédibilité [...].}}
{{Réf Livre|titre=L’équation africaine|auteur=[[Yasmina Khadra]]|éditeur=Pocket|année=2011|page=285}}
 
==== [[Alexandre Najjar]], ''Kadicha'', 2011 ====
{{citation|citation= ''Memento mori'' [...]. C’est pour se rappeler la mort et mieux s’y préparer !
}}
{{Réf Livre
|titre=Kadicha
|auteur=[[Alexandre Najjar]]
|éditeur=Plon
|année=2011
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{{Réf Livre
|titre=Kadicha
|auteur=[[Alexandre Najjar]]
|éditeur=Plon
|année=2011
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{{Réf Livre
|titre=Kadicha
|auteur=[[Alexandre Najjar]]
|éditeur=Plon
|année=2011
Ligne 553 ⟶ 547 :
{{Réf Livre
|titre=Kadicha
|auteur=[[Alexandre Najjar]]
|éditeur=Plon
|année=2011
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}}
 
==== [[Amin Maalouf]], ''Les désorientés'', 2012 ====
{{Citation|Je ne suis pas certain qu’il faille pardonner à ceux qui meurent. Ce serait trop simple si, au soir de chaque [[vie]] humaine, on remettait les compteurs à zéro ; si la [[cruauté]] et l’[[avidité]] des uns, la [[compassion]] et l’abnégation des autres, étaient benoîtement passées par profits et pertes. Ainsi, les meurtriers et leurs victimes, les persécuteurs et les persécutés, se retrouvaient également innocents à l’heure de la mort ? Pas pour moi, en tout cas. L’impunité est, de mon point de vue, aussi perverse que l’[[injustice]] ; à vrai dire, ce sont les deux faces d’une même monnaie.}}
{{Réf Livre|auteur=[[Amin Maalouf]]|titre=Les désorientés|éditeur=Grasset|année=2012|page=20}}
 
== Articles connexes ==
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