« Lénine » : différence entre les versions

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|traducteur=Giraud Robert
}}
 
{{citation|citation=Nous nous assignons comme but final la suppression de l'État, c'est-à-dire de toute violence organisée et systématique, de toute violence exercée sur les hommes, en général. Nous n'attendons pas l'avènement d'un ordre social où le principe de la soumission de la minorité à la majorité ne serait pas observé. Mais, aspirant au socialisme, nous sommes convaincus que dans son évolution il aboutira au communisme et que, par suite, disparaîtra toute nécessité de recourir en général à la violence contre les hommes, toute nécessité de la soumission d'un homme à un autre, d'une partie de la population à une autre ; car les hommes s'habitueront à observer les conditions élémentaires de la vie en société, sans violence et sans soumission.}}
{{Réf Livre|titre=L'État et la Révolution
|auteur=Lénine
|éditeur=de Pékin
|année=1978
|page=102
|chapitre=4
|année d'origine=1917
}}
 
{{citation|citation=L'État pourra s'éteindre complètement quand la société aura réalisé le principe : "De chacun selon ses capacités à chacun selon ses besoins", c'est-à-dire quand les hommes se seront si bien habitués à respecter les règles fondamentales de la vie en société et que leur travail sera devenu si productif qu'ils travailleront volontairement selon leurs capacités. "L'horizon borné du droit bourgeois", qui oblige à calculer avec l'âpreté d'un Shylock : "N'aurais-je pas travaillé une demi-heure de plus que le voisin ? N'aurais-je pas touché un salaire inférieur au sien ?" - cet horizon borné sera alors dépassé. La répartition des produits n'exigera plus alors le rationnement par la société des produits délivrés à chacun ; chacun puisera librement "selon ses besoins".}}
{{Réf Livre|titre=L'État et la Révolution
|auteur=Lénine
|éditeur=de Pékin
|année=1978
|page=120
|chapitre=5
|année d'origine=1917
}}
 
 
{{citation|citation=En attendant l'avènement de la phase "supérieure" du communisme, les socialistes réclament de la société et de l'État qu'ils exercent le contrôle le plus rigoureux sur la mesure de travail et la mesure de consommation ; mais ce contrôle doit commencer par l'expropriation des capitalistes, par le contrôle des ouvriers sur les capitalistes, et il doit être exercé non par l'État des fonctionnaires, mais par l'État des ouvriers armés.}}
{{Réf Livre|titre=L'État et la Révolution
|auteur=Lénine
|éditeur=de Pékin
|année=1978
|page=121
|chapitre=5
|année d'origine=1917
}}
 
 
{{citation|citation=Imaginez-vous que votre automobile soit arrêtée par des bandits armés. Vous leur donnez votre argent, votre passeport, votre revolver, votre auto. Vous vous débarrassez ainsi de l'agréable voisinage des bandits. C'est là un compromis, à n'en pas douter. "Do ut des" (je te "donne" mon argent, mes armes, mon auto, "pour que tu me donnes" la possibilité de me retirer sain et sauf). Mais on trouverait difficilement un homme, à moins qu'il n'ait perdu la raison, pour déclarer pareil compromis "inadmissible en principe", ou pour dénoncer celui qui l'a conclu comme complice des bandits (encore que les bandits, une fois maîtres de l'auto, aient pu s'en servir, ainsi que des armes, pour de nouveaux brigandages). Notre compromis avec les bandits de l'impérialisme allemand a été analogue à celui-là.
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{{citation|Les entreprises qui ne nous sont pas absolument indispensables, nous les confierons à des affermataires, y compris nos capitalistes privés et les concessionnaires étrangers.}}
{{Réf Livre|titre=Nouveaux temps, anciennes erreurs, Œuvres, Éditions Sociales, Paris, 1959, Tome 33, p.19.
|auteur=Lénine
|éditeur=Éditions Sociales