« Pierre Corneille » : différence entre les versions

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|acte=I
|scène=4
|vers=
|s=Médée (Corneille)}}
 
{{citation|citation=<poem>{{Personnage|Nérine}} : Les plus ardents transports d’une haine connue
Ne sont qu’autant d’éclairs avortés dans la nue,
Qu’autant d’avis à ceux que vous voulez punir,
Pour repousser vos coups, ou pour les prévenir.
Qui peut sans s’émouvoir supporter une offense,
Peut mieux prendre à son point le temps de sa vengeance ;
Et sa feinte douceur, sous un appas mortel,
Mène insensiblement sa victime à l’autel.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres
|auteur=Pierre Corneille
|éditeur=Marty-Laveaux
|année=1862
|année d'origine=1635
|tome=2
|section=Médée
|page=354
|acte=I
|scène=5
|vers=
|s=Médée (Corneille)}}
 
{{citation|citation=<poem>{{Personnage|Médée}} : Quiconque sans l’ouïr condamne un criminel,
Son crime eût-il cent fois mérité le supplice,
D’un juste châtiment il fait une injustice.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres
|auteur=Pierre Corneille
|éditeur=Marty-Laveaux
|année=1862
|année d'origine=1635
|tome=2
|section=Médée
|page=361
|acte=II
|scène=2
|vers=
|s=Médée (Corneille)}}
 
{{citation|citation=<poem>{{Personnage|Ægée}} : Quand on connaît sa faute, on manque doublement.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres
|auteur=Pierre Corneille
|éditeur=Marty-Laveaux
|année=1862
|année d'origine=1635
|tome=2
|section=Médée
|page=372
|acte=II
|scène=5
|vers=
|s=Médée (Corneille)}}